Ce que je veux!

J’ai fait un exercice pour savoir ce que je veux dans ma vie. Je suis à un moment où je me pose énormément de questions. Où suis-je, qui suis-je, qu’est-ce que je veux et évidemment ce que je ne veux pas. Depuis quelques temps, j’essaie de faire un bilan de ma vie, de mes implications, de mon bénévolat, de mes amitiés. Évidemment cela me pousse à me regarder face à face avec moi-même en toute vérité et de prendre conscience de mes succès et de mes échecs.

Après toutes ces réflexions, me voici à la croisée des chemins où je vais avoir durant la prochaine saison hivernale 60 ans. Excellente période pour faire un bilan, mais aussi pour faire des projections, comment je veux vivre mes années futures. Je catégorise beaucoup ma vie en étapes : de petits à mon adolescence, à ma vie d’adulte, à ma vie de parent, d’employé et de gestionnaire, à ma vie de grands-parents et bientôt à ma vie de retraité.

Dans mon cheminement, j’ai écrit ma raison d’être qui est mon chemin pour le restant de ma vie. Il a fallu que je me pose la question, qu’elle soit ma raison d’être. J’ai débuté par me demander ce qui était important pour moi. Souvent, nos raisons d’être sont basées sur une information importante : quel travail aimerais-je faire et pour lequel je serais prêt à ne pas toucher de salaire, mais qui serait tout de même rémunéré. J’ai fait du mentorat avec les optimistes, totalement bénévole. Je me suis découvert cette passion d’accompagner les gens dans l’atteinte de leurs objectifs. En les accompagnant, j’ai fait découvrir à ces gens des forces qu’ils avaient en eux et qu’ils ignoraient. Souvent les gens que j’ai accompagnés ont grandi pas juste par rapport à l’optimiste.  Pour moi, le mouvement optimiste est un mouvement qui nous permet de grandir dans une philosophie de vie encourageante.

Voici ma raison d’être : inspirer les autres à concrétiser leurs rêves les plus chers, et à utiliser les habiletés à inspirer, motiver et outiller les gens afin qu’ils puissent atteindre le bonheur auquel ils aspirent.

Dans mon cheminement, j’ai lu l’Alchimiste de Paulo Coelho, où la ligne directrice de l’histoire est de suivre le chemin d’un berger qui veut réaliser son rêve. Tout au long de l’histoire, nous accompagnons ce berger dans la quête de son rêve. Pour bien définir ce que l’on veut vraiment, il faut se poser les vraies questions.  Dans le livre Le Succès, selon Jack Canfield, on nous présente cela comme un chemin où nous devons coucher sur papier nos désirs, nos rêves les plus chers. Ne pas se donner de limite est un exercice qui vous fera découvrir un monde extraordinaire ou rien n’est impossible. Tout est possible, l’avenir nous appartient.

Canfield nous demande d’écrire dans 8 catégories déjà définies, nos désirs, nos rêves les plus fous. Voici les catégories sur lesquels nous devons faire le travail, 1- Finance, 2- Emploi-carrière-entreprise, 3- Relations, 4- Santé et forme physique, 5- Temps libres et loisirs, 6-  Croissance personnelle et spirituelle, 7- Biens matériels, 8- faire une différence-contribution-services. Alors je vous invite à écrire sur une feuille vos désirs ou vos rêves dans chacune des catégories. Prenez le temps de penser d’en trouver un minimum de 3 par catégorie, ce qui vous donnera 24 rêves et désirs à réaliser.  Ensuite, sélectionnez dans chacune des catégories celui qui est le plus urgent à réaliser et qui vous motiverait à continuer de travailler pour atteindre les autres rêves ou désirs.  Et voilà vous avez défini les objectifs qui mettent la table de votre plan d’action, que l’on doit débuter dès maintenant.

En résumé cette semaine, prenez le temps de faire les deux exercices, trouvez votre raison d’être et faites la liste de ce que voulez pour les 8 catégories soumises par Canfield. Ensuite, gardez à vue votre raison d’être, tous les matins répétez-la, pour qu’elle devienne instinctivement votre objectif.  Une fois par semaine, regardez votre liste des 8 catégories, de vos rêves et de vos désirs, demandez-vous si les actions que vous avez faites sont en ligne directe avec vos objectifs dans chacune des catégories.  Alors ne négligez pas de faire les deux exercices, car déjà d’écrire notre raison d’être et de lister nos rêves et nos désirs dans les 8 catégories, nous met déjà en action.

En terminant, sachez que de connaître pourquoi nous faisons toutes ces choses dans nos vies nous démontre notre raison d’être. Ne perdez pas espoir. Le chemin de la victoire est parsemé d’embuches. Mais de connaître la destination finale ne peut que nous tracer le chemin pour réussir. Alors, à partir de maintenant, prenez l’engagement de faire ce que vous voulez faire.

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Si aujourd’hui était votre dernier jour

J’ai reçu de mon épouse il y a quelques Noël le livre de Oprah Windfrey,  Ce dont je suis certaine.  Ce qui m’a touché de ce livre est le dos de la couverture qui résumait le livre à ceci;

« Ce dont je suis certaine, c’est que votre parcours de vie commence par le choix de vous lever, d’aller de l’avant et de vivre pleinement. » 

Et en parcourant le livre je suis tombé sur un page qui disait cela :  À quand remonte la dernière fois ou vous avez ri avec un ami à vous en tenir les côtes ou vous avez confié vos enfants à une gardienne pour faire une escapade d’un week-end?  Plus précisément, si votre vie se terminait demain, que regretteriez-vous de ne pas avoir fait?  Si c’était aujourd’hui la dernière journée de votre vie, la passeriez-vous comme vous le faites?

J’ai un jour vu un tableau d’affichage qui a capté mon attention. J’y ai lu :  « Celui qui meurt avec le plus de jouets est quand même mort. »  Toute personne ayant frôlé la mort saurait-vous dire qu’à la fin de votre vie, vous ne vous remémorerez sans doute pas combien de nuits blanches vous aurez passées au bureau ou quelle est la valeur de votre fonds commun de placement.  Les pensées qui nous viennent alors à l’esprit sont les questions du genre « Et si », comme : Qui est-ce que j’aurais pu devenir si j’avais fini par faire les choses que j’ai toujours voulus faire?

Encore une fois ces livres me force à faire des réflexions sur ce que je veux vraiment faire de ma vie.  Il est bien évident que de faire des changements nous fragilise, nous inquiète.  Mais si j’y mets le désir et la volonté, je suis certain que cela va marcher.  Alors qu’attendons-nous pour nous mettre dans l’action.  N’attendons pas après les autres soyons des leaders et pour que notre parcours de vie commence par le choix de nous lever, d’aller de l’avant et de vivre pleinement.

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Faire toujours plus avec moins!

Je trouve que cette phrase est le leitmotiv depuis plusieurs années de tous nos gestionnaires et administrateurs.  Dans le monde du travail, cette phrase est très négative parce qu’elle parle d’humain, d’individus, de perte d’emploi. Personne n’est contre cet adage de faire plus avec moins. Le bel exemple pour moi serait d’avoir plus de produits dans mon panier d’épicerie et que cela me coûte moins chers.  Est-ce un rêve réalisable? Des gens aujourd’hui avec la période qui nous touche sont devenus très innovateur dans les produits consommables. Certains d’entre vous avez découvert le plaisir de cuisiner, vu la fermeture des restaurants. Pour certaines personnes que je connaisse ce fut une véritable découverte, le plaisir de préparer le repas avec ton conjoint, d’essayer de nouvelle recette. Mais plus particulièrement un temps de qualité pour échanger ensemble et discuter de nos intérêts et de nos rêves.

Faire toujours plus avec moins, nous force à regarder avec des yeux qui recherche des innovations quelles technologiques, des nouvelles façons de faire, des nouvelles options qui s’offrent à nous.  Je pense qu’actuellement le monde du travail ont découvert les bienfaits du télétravail, les travailleurs ont découvert qui s’il s’efforce de produire en télétravail, ils passeront moins de temps sur la route à pogner les nerfs au volant.

Le but de cet article, est de vous motiver à réfléchir, comment moi je peux faire mieux avec moins. Cette question, m’a empêché de dormir, m’a incité à une grande réflexion sur qu’est-ce qu’il me manque pour que je fasse toujours plus avec moins.  La piste qui m’est apparu est comment moi je peux m’investir pour être plus productifs en y mettant le moins de temps possible. Selon Laura Vanderkam, dans son livre J’ai tout mon temps, nous dit comment attaquer la To Do List avec énergie et efficacité.  Selon l’auteur plusieurs pistes nous sont données. Mais pour moi tout passe par une meilleure planification de nos journées.

Avant de quitter le bureau, je planifie ma journée du lendemain, j’indique les dossiers que j’aimerais qui soient terminer le lendemain soir et je les mets en priorité lors de mon arrivé au bureau le lendemain matin. Aussi j’ai porté une attention particulière en faisant une analyse de mes périodes les plus productives dans la journée. Pour certains d’entre vous c’est le matin, le milieu de la journée ou la fin de la journée. En apprenant à mieux se connaître, nous arriverons à mieux planifier nos journées. Je vous recommande de faire ces exercices qui vous feront réaliser que vous aller en faire toujours plus avec moins de temps.

Pour les utilisateurs de To Do List comme moi, j’ai longtemps pensé que plus la liste est longue, plus que je sens que je suis essentiel pour mon employeur. Mais un jour j’ai frappé un mur, quoi de plus déprimant qu’entré dans un bureau et avoir plein de dossier qui vous attendent dès le début de la journée.  On dirait qu’on n’en verra jamais le bout.  Je vous invite tous avant de partir de laisser la place vide et près à entamer une nouvelle journée avec une surface de travail prête a recevoir un dossier à la fois. Je ne suis pas un surhomme, je ne suis que seulement un individus qui a tout essayer pour faire toujours plus avec moins et encore aujourd’hui j’y travaille extrêmement fort. Et je sais que je vais y arriver. Le succès est dans l’action et non dans l’inaction.

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Saisir le moment!

Nous sommes souvent confrontés à des occasions qui s’offrent à nous et qui nous force à nous poser souvent la question, est-ce que je dois accepter cette offre.  Saisir le moment est un texte que je voulais vous écrire pour que vous preniez conscience des opportunités qui se présentent à nous et que pour multiples raisons nous les repoussons. Devrions-nous dire oui à toutes les opportunités, non là n’est pas la solution à toutes les réponses. Mais une chose est certaine de dire non toujours, n’est pas plus la solution. Étant un être rationnel, je recommande toujours aux personnes qui me parlent d’une opportunité qui leur est offerte de faire deux colonnes, une que l’on va appeler la colonne des avantages et l’autre la colonne des désavantages. Ensuite, inscrire dans chaque colonne les choses que l’on pense qui sont un avantage ou un désavantage. La réponse viendra naturellement à la fin de l’écriture.

Saisir le moment, veut aussi dire se donner la chance de vivre des choses que l’on ne pensait jamais vivre. J’en suis personnellement le meilleur exemple trop de fois dans ma vie, il m’est arrivé de craindre d’essayer quelque chose de la peur de l’échec. Un jour dans un livre je suis tombé sur une affirmation qui disait ceci « Je ne suis pas capable, tu as raison. Je vais réussir, tu as raison, » laquelle des deux affirmations souhaites-tu croire. Depuis quelques années, je me donne la chance d’essayer de nouvelles choses qui me sort de ma zone de confort, est-ce que je le fais avec assurance, non je découvre de nouvelle limite et qui m’apporte de nouvelle chose qui me font grandir dans mon cheminement personnel.

Saisir le moment, c’est aussi prendre conscience de beaucoup de choses, lors d’une lecture matinale je suis tombé sur un passage qui m’a beaucoup touché qui disait ceci; lorsque vous vous donnez l’occasion de saisir le moment, vous croyez qu’il y a toujours une solution à une situation. De fait, vous êtes convaincu qu’il n’existe pas qu’une solution; vous croyez qu’il y en a plusieurs. Cela fait ne sorte que vous êtes prêt à travailler pour les trouver. Après le travail, vous serez surpris de tout ce qui sortira de votre travail, parce que vous avez saisi le moment pour vous mettre en mode solution.

Je profite de chaque moment que je passe avec des gens pour prendre conscience que je saisis le moment présent en étant entièrement présent avec eux.  Souvent les gens qui ne profitent pas de l’occasion de se rencontrer, de partager un repas, un café, une pause passe à côté de belle rencontre. Il faut s’intéresser à l’être humain pour toutes les expériences qu’ils vivent et qui veulent bien nous partager. Je déplore souvent les discussions qui sont négatives. Ce qui est triste, c’est que ce genre de conversation positive est en train de venir désuète. Les gens se concentrent plus sur les problèmes que les solutions, ils parlent au lieu d’écouter, il critique sur les médias sociaux au lieu de s’assoir ensemble autour d’une table, et ils s’attardent à ce qui divise au lieu de chercher ce qui pourrait les rassembler. Pouvons-nous changer cela, je crois que oui, nous devons devenir des agents de changements, des personnes qui saisissent le moment pour prendre en charge l’orientation de la conversation, et expérience faite, je vous garantis un changement de direction.

Depuis que je travaille sur moi-même est-ce que c’est parfait, non. Voilà pourquoi je continue de me ressourcer. De saisir les moments que je peux prendre pour travailler sur moi. Je suis loin d’être parfait et voilà pourquoi j’ai besoin de vous, de vos expériences, de vos opportunités. Les décisions que vous avez prises vous ont construit la personne que vous êtes aujourd’hui. Vous auriez pris d’autres directions quand les opportunités vous sont arrivées, vous seriez une autre personne. Les expériences de vos vies, les moments que vous avez saisis, vous ont transformé comme individus. Et de cet individu que j’aimerais connaitre de plus en plus pour parfaire mon éducation de l’être humain. Si certains d’entre vous sont intéressés par cette offre, j’aimerais échanger avec vous sur comment vous avez saisi le moment.

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Profite de l’occasion!

Ce matin réveil brutal, alerte Amber, 3h45 du matin. Je me suis levé carré dans mon lit me demandant ce qui se passait. Mes premières pensées sont allées vers les parents de cette fillette qui doivent vivre des moments d’inquiétude insoutenables. Je souhaite un dénouement heureux à cette alerte. Mais après avoir été bien réveillé, je me suis dit, Denis profite de ce réveil devancé pour commencer ta routine matinale plus tôt. Au moment d’écrire ces lignes, je suis surpris de tout ce que l’on peut accomplir dans une heure.


Dans ma lecture matinale, je suis tombé sur une pensée de Earl Nightingale qui dit « Si vous consacriez une heure par jour, chaque jour, pendant cinq ans, au même sujet, vous deviendriez un expert dans ce domaine. » Cette pensée m’a frappé de plein fouet dans le front. Depuis près de trois ans que j’écris tous les matins, depuis 82 matins que j’écris en plus mes pages du matin, tel qu’enseigné par Julia Cameron, depuis plus de 20 ans que je lis des livres de motivation, des livres positifs, des biographies de gens qui m’inspirent. Depuis 2001, que je mets en pratique l’enseignement que j’ai reçu de Robert Tessier avec les Clés de la Sérénité. Malgré tout cela, je ne me considère pas comme un expert, car je suis toujours en apprentissage. Ce qui me console est que John C. Maxwell, un auteur que je lis régulièrement, et qui a écrit dans son livre, les 21 lois irréfutables du leadership, une réflexion qui porte à continuer mon cheminement « Le leadership se développe au quotidien, pas un jour. » Quelle sagesse ! Suite à cela, je continuerai d’en apprendre davantage sur le leadership.

Sans contredire ce que prétend Nightingale, je conçois que, personnellement, le processus que j’ai enclenché depuis le début de mon chemin dans le leadership, mon objectif est de devenir un spécialiste du leadership. Étant donné que je marche avec des objectifs et des buts, qui me nourrissent dans le chemin vers mon objectif.  Depuis toutes ces années, je m’inscris à des webinaires sur le sujet, je lis des blogues sur le leadership. Ne connaissant pas trop l’anglais, j’avais comme une barrière, qui s’est rapidement dissipée, en constatant qu’au Québec, nous n’avons rien à envier à personne.  Nous avons développé au Québec des leaders, desquels nous pouvons nous inspirer.

Aujourd’hui il est plus facile de s’informer avec les médias sociaux, les podcasts, les vidéos en ligne, les influenceurs.  Je crois que pour toute personne qui veut s’améliorer dans n’importe quel sujet, nous sommes devant l’abondance au niveau de l’accès à la ressource.  Rappelons-nous le temps que nous passions à la bibliothèque quand nous faisions des recherches, quand nous voulions en apprendre davantage sur un sujet.  Aujourd’hui au lieu d’aller chercher l’information, c’est elle qui vient à vous, vous n’avez qu’à la cueillir. Le leadership a toujours été pour moi un objectif. Je veux vous inviter, pour ceux qui me lisent, à réfléchir sur ce que je vous apporte par mes articles. À vous fixer des objectifs, à faire des recherches sur l’internet sur le sujet sur lequel vous voulez continuer votre apprentissage.  Je ne vous oblige pas à ce que ce soit le leadership, mais trouvez-vous votre niche, votre intérêt.

En écrivant ce texte, je me rappelle une annonce qui passait à une époque dans laquelle  un jeune adulte était assis en arrière d’un véhicule et ses parents étaient assis en avant dans une voiture très luxueuse. Le père demande au jeune ce qu’il veut faire comme métier. Durant ce trajet, le jeune voit un camion de déchets avec un éboueur en arrière qui récupère des sacs de déchets, et pendant qu’il regarde, la question du père arrive. Le jeune répond du tac au tac, « je veux être éboueur, papa ». Sans attendre, le père lui a répondu, « sois le meilleur éboueur au monde ». Ce n’est sûrement pas le genre de réponse que le père attendait, car dans l’annonce on nous laissait présager qu’ils étaient en moyen. Les parents auraient sûrement aimé mieux un autre métier, mais qui sommes-nous pour savoir ce que nos enfants désirent le plus.  À partir de ce moment, j’ai compris que ma job de parent était que mes enfants réalisent ce qu’ils veulent pour eux, pour leur intérêt.  Je veux aussi préciser que je n’ai rien de négatif ou dégradant envers le travail d’éboueur. J’ai beaucoup de respect pour ces gens qui font un travail colossal pour notre environnement. Ces experts de l’environnement, comme le disait Nightingale au début de l’article, qui font ce travail plus qu’une heure par jour.

Dans mon apprentissage sur le leadership, je réalise que j’ai changé. Il est impensable que tous ces livres, ces conférences, ces podcasts, ces vidéos ne m’aient pas influencé à changer. J’ai constaté que je m’améliorais en matière de leadership et de stratégie. Récemment, j’ai même poussé l’audace à demander à des gens avec qui je travaille de m’évaluer, je dois vous dire que ça nous confronte à la vision que les gens qui nous côtoient ont de nous. Je me suis mis dans un mode réception,  optimiste, en me disant que je veux m’améliorer et que ces gens veulent que je m’améliore pour que cela soit plus agréable que l’on travaille ensemble.

En terminant, je souhaite que cette alerte Amber aura donné des résultats positifs. Mais pour l’article, j’ai réalisé que j’ai changé et ce n’est pas fini. Je vous invite à faire la même chose que moi, choisissez-vous un sujet sur lequel vous avez de l’intérêt, investissez-vous une heure par jour, chaque jour pendant cinq ans, et parcourez le chemin pour devenir un expert. Au lieu de me demander combien de temps il me reste avant d’atteindre le titre expert, j’ai commencé à me dire jusqu’où je peux aller dans le leadership. Et hop voilà c’est reparti, je me remets au travail!

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Le déconfinement!

Depuis maintenant près de 14 mois que nous sommes en confinement, on nous annonce la fin du couvre-feu. De petits rassemblements seront autorisés, des visites à nos parents, grands-parents et enfin recevoir nos petits-enfants, sans faire de câlins ou d’embrassades.  Actuellement, je pense qu’aucune personne n’est contre le déconfinement ; nous sommes tous écoeurés de ces restrictions auxquelles nous nous sommes tous prêtés par souci de nous préserver en santé.  Nous ne pouvons dire mission accomplie parce que nous avons eu énormément de victimes de ce virus, et aussi des victimes indirectes, les familles de toutes ces personnes décédées.

Pour moi, ce virus nous a permis de découvrir de nouvelles choses, de nouvelles activités. Donner plus de temps pour penser à soi et prendre soin de soi. Personnellement, j’ai redécouvert le plaisir de déjeuner à la maison, d’essayer des recettes, de me retrouver avec ma conjointe.  Je vous invite à réfléchir et à écrire sur une feuille les nouvelles choses que vous avez découvertes durant la pandémie. Prendre conscience que ce confinement, même s’il nous a obligés à changer nos habitudes, nous a fait découvrir autre chose.

Ces nouvelles activités se termineront-elles avec le déconfinement? Je me suis posé la question, et actuellement je ne pense pas, car j’ai un immense plaisir à faire ces nouvelles activités. Suis-je le seul à réfléchir comme ça? Ma conjointe et moi avons développé du plaisir à se retrouver ensemble, à se préparer de bonnes bouffes, à regarder des films ensemble, ce que la vie nous permettait moins, un coup le tourbillon de la vie régulière avant pandémie.  Chaque fin de semaine, nous étions occupés et nous réalisions que la fin de semaine était passée et que nous ne l’avons pas vu passée, on était déjà rendu dimanche soir.

Si on avait su que les premiers 28 jours de confinement de mars 2020 auraient duré jusqu’en juin 2021, comment aurions-nous réagi? Si notre premier ministre nous avait dit en mars 2020, je confine le Québec pour 15 mois, est-ce que nous aurions accepté cette demande avec autant d’empressement. Permettez-moi d’en douter. Je voyais qu’aussitôt que le gouvernement baissait la garde, de petits groupes abusaient de la permission et faisaient que les chiffres se remettaient à monter. Et voilà, on reconfine tout le monde.   Gang de …..

Cette pandémie m’a fait travailler excessivement sur moi. En septembre dernier, j’ai commencé à ne pas me sentir bien à l’intérieur de moi. Quelques semaines plus tard, j’ai vécu des crises d’anxiété, une situation que je n’avais jamais vécue avant.  Moi qui vous écris à toutes les semaines sur le positivisme et la motivation, je vivais une période sombre, je devais me reprendre en main et me remettre au travail. Ayant déjà été en thérapie, je me sentais outillé pour me reprendre en main. La première chose que j’ai faite, et qui a été très bénéfique pour moi, est la reconnaissance de la situation et de mettre mes clés ou mes outils pour me guérir. J’avais même pensé consulter pour m’aider. Pour moi, la consultation n’est pas un signe de faiblesse, mais un signe de maturité.  Si un homme comme moi qui se croyait fort mentalement a connu une période difficile, comment vous êtes-vous sorti de cette pandémie?

Aujourd’hui, la question qui me trotte dans la tête est « Est-ce qu’avec le déconfinement, j’ai le goût de retrouver tout ce que j’avais avant ce virus ». Je ne connais pas la réponse, mais une chose est certaine, ce que j’ai découvert durant ce confinement, j’espère en garder quelque chose, car ce confinement m’a ramené à la base de ma raison d’être, moi-même. Durant cet arrêt, j’ai travaillé sur ma raison d’être et pourquoi je suis sur la terre. Permettez-moi de vous la partager: ma raison d’être est d’inspirer les autres à concrétiser leurs rêves les plus fous, et à utiliser mes habiletés pour inspirer, motiver et outiller les gens afin qu’ils puissent atteindre le bonheur auquel ils aspirent.  Voici maintenant ma raison d’être que je mets en pratique depuis environ 3 semaines.

Présentement je reçois énormément de commentaires sur le déconfinement. Vous savez, avant le virus, nous avions des activités, nous suivions des cours, nous nous impliquions auprès des optimistes pour les jeunes de notre communauté. J’ai peur que nous vivions un désintéressement de toutes ces activités et que nous nous retrouvions confinés parce que nous sommes habitués d’être à la maison. Pour qu’une activité devienne une habitude, on doit la pratiquer pendant 21 jours. Je vous invite à vous remettre à faire des activités, de suivre des cours et de vous impliquer dans les optimistes, car ce sont nos jeunes qui vont en ressentir les effets. Et je pense que les jeunes ont assez payé actuellement. Pensons à eux, car ce sont eux qui s’occuperont de nous plus tard.

Prenez soin de vous et soyez vigilants, la victoire n’est pas très loin!

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Qu’est-ce qu’une équipe?

« Une équipe n’est pas seulement un groupe de personnes qui travaillent en même temps et au même endroit. Une véritable équipe est un groupe d’individus très différents les uns des autres, mais qui s’engagent à travailler ensemble afin d’atteindre des buts communs. Ils ne sont pas tous égaux en matière d’expérience, de talent, ou d’éducation mais ils se rejoignent sur un point qui est d’une importance vitale ; leur engagement envers le bien de l’organisation. C’est en travaillant en équipe que n’importe quel groupe d’individus obtient les meilleurs résultats. » décrit Patricia Fripp, auteure et conférencière.

Pour moi, cette définition est une des plus vraies quand je me demande ce qu’est une équipe? Au travail, il faut trouver un moyen d’impliquer tout le personnel dans un objectif commun ; la même chose s’applique à la maison ou dans notre implication dans un organisme bénévole. Si un membre d’une équipe n’apporte pas sa contribution, le travail devient plus difficile et l’atteinte des résultats est mise à l’épreuve. J’ai toujours cru que le travail d’équipe est essentiel à l’atteinte d’un objectif commun. Comme le mentionne Fripp plus haut, la meilleure équipe doit être composé d’individus hétéroclites, pas tous pareils.  On m’a toujours enseigné que lorsque nous formons une équipe, il faut la composer de personnes qui comblent vos faiblesses. Pour recruter les bonnes personnes, nous devons nous connaître assez bien pour choisir les bonnes personnes.  Vous devrez analyser les gens que vous recruterez pour ne pas vous tromper dans la sélection des individus.  Si vous composez votre première équipe, ne soyez pas trop exigeant envers vous. 

Un coup l’équipe formée, il faut que le leader puisse communiquer l’objectif qu’il veut atteindre avec l’équipe. Il faut rallier les membres de l’équipe à ce but commun, que votre objectif devienne leur objectif. Il est possible qu’en communiquant l’objectif, vous obteniez certains commentaires qui pourront apporter certaines modifications à votre objectif. Soyez ouvert à toute suggestion, puisque en devenant leur objectif, ils doivent se reconnaitre dans le but pour lequel ils travailleront à partir de maintenant. Il faut établir avec cette nouvelle équipe un fonctionnement de confiance. Pour gagner cette confiance, il faut communiquer et permettre à tous les membres de l’équipe d’être assez en confiance pour qu’ils puissent dire ce qu’ils pensent.

Le grand danger qui guette les équipes est que chaque individu qui les composent ne se sente pas impliqué dans l’atteinte de l’objectif. Il faut reconnaître que tous ont quelque chose à offrir. Que les points forts et les points faibles de chaque individu soient un avantage et non un inconvénient. Le leader doit s’assurer que chaque personne composant l’équipe soit encouragée à contribuer aux succès de l’équipe. Il faut continuellement rappeler aux membres que leur apport à l’équipe est essentiel à la réussite de l’équipe. Il faut souligner régulièrement la contribution des membres au succès, soit par leur idées ou par leurs actions, devant les autres membres. Il n’y a rien de plus valorisant quand vous faites partie d’une équipe de vous faire reconnaître par votre supérieur devant les autres membres, Ceci est un excellent exercice de motivation d’équipe.

John C. Maxwell, auteur figurant sur la liste des best-sellers du New York Times, mentionne dans son livre « Changez votre monde », édité en 2021, comment n’importe qui, n’importe où peut faire une différence.  Et ensuite il nous apprend que pour qu’un objectif soit valable, il faut que les individus fassent passer l’équipe avant eux, que lorsqu’ils partagent les mêmes valeurs, lorsqu’ils collaborent en tirant parti de leurs atouts respectifs, ils peuvent faire une énorme différence. Si vous voulez changer votre monde de manière significative, alors vous savez ce que vous avez à faire : UNISSEZ-VOUS!

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Les excuses!

Êtes-vous le genre de personnes qui disent ces mots de façon anodine, sans vérité absolue. Nous avons tous, à divers moments de notre vie, dit ou entendu ces mots. Avez-vous toujours ressenti la sincérité dans l’intention des gens ? Ces mots sont utilisés souvent pour de petites choses : l’oubli d’un rendez-vous ou d’un aliment dans un arrêt à l’épicerie. Çà ne développe rien de bon parce que nous avons oublié l’article.

Pour créer la vie et le succès que vous souhaitez, vous devez renoncer à vous trouver des excuses. Permettez-moi de le répéter, car c’est important : Pour créer la vie et le succès que vous souhaitez, vous devez renoncer à vous trouver des excuses. Ceci inclut toutes les raisons que vous donnez pour expliquer pourquoi les choses sont ce qu’elles sont. Une fois que vous aurez renoncé à vous trouver des excuses, vous serez en mesure de voir clairement la situation et de vous concentrer sur ce que vous pouvez faire pour obtenir ce que vous voulez.

Lorsque nous n’obtenons pas les résultats escomptés ou que nous n’avons pas la vie que nous souhaitons, il est naturel, et facile, de se trouver des excuses. On entend les gens le faire à tous les jours; se trouver des excuses est une réaction à un événement. C’est une façon de justifier sa situation actuelle. Mais c’est tout simplement une réaction inefficace qui ne se solde pas par de meilleurs résultats. Se trouver des excuses vous enlève vos moyens et vous empêche de penser de façon créative à ce que vous pourriez faire différemment.

Souvent, nous trouvons des excuses pour nous justifier dans l’inaction de vouloir prendre des décisions qui nous permettrait de nous mettre sur le chemin de l’atteinte de nos objectifs. Les gens ont l’excuse facile pour se justifier. Je travaille fort pour changer et retirer le plus possible les excuses dans ma vie. Je garde les vraies excuses pour les choses que j’oublie inconsciemment comme un article à l’épicerie pour une commission. Vous avez surement plusieurs exemples de ce genre d’excuses anodines.

J’ai souvent remarqué que les gens ont l’excuse facile.  À tout moment, les gens disent excuse-moi, mais les vraies excuses sont les excuses qui font mal.  Lors d’un exercice en thérapie, j’ai compris le moment où les excuses sont vraies; les réactions sont instantanées.  Si vous avez des excuses à faire, faites en sorte qu’elles soient sincères.

Depuis 67 jours, j’écris mes pages le matin, tel qu’enseigné par Julia Cameron dans « Libérez votre créativité ». Je n’ai aucune excuse; j’ai besoin d’écrire, je veux faire éditer un livre. Alors, pour réaliser mon objectif, je dois, tous les matins, prendre une heure de mon temps et mettre sur papier mes pensées du jour, les objectifs de ma journée au travail et dans ma vie personnelle.

Quelques matins, il m’est arrivé de n’avoir aucune difficulté à trouver des excuses pour ne pas m’asseoir devant la page blanche, mais je me dis, tu dois écrire et je ne laisse aucune place aux excuses. Je me dis que le sentiment de fierté que je vais sentir après mon heure d’écriture vaut plus que toutes les excuses pour ne pas m’asseoir.

Quand nous écrivons nos états d’âme et nos émotions, nous arrivons à extérioriser nos sentiments.  Je suis d’avis que lorsque nous mettons sur papier nos émotions, nous sommes déjà dans l’objectivité de trouver une solution à cette émotion.

Prenez conscience de la façon dont vous utilisez les excuses et si vous pensez qu’il serait souhaitable que vous arrêtiez de vous excuser. Alors commencez à réfléchir : au lieu de vous excuser, ne commettez pas l’action sur laquelle vous allez être obligé de vous excuser. Mais quand vous réalisez qu’il serait mieux pour la situation de faire des excuses, soyez assez mature pour les faire de façon bien senties.

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Pour en arriver là!

Il y quelques semaines, suite au décès de Michel Louvain, un ami a mis sur Facebook une chanson que Louvain chantait souvent à la fin de ses spectacles afin de dire merci à son public, qui lui a toujours été fidèle. Cette chanson,  interprétée par Dalida, nous porte à réfléchir à toutes les étapes d’un cheminement d’une vie. Les doutes, les épreuves, les incompris nous amènent souvent à nous remettre en question. Depuis que j’ai entendu cette chanson, elle tourne en boucle dans ma tête pour me faire prendre conscience de toutes les étapes que j’ai dû passer pour en arriver là!

Prenez le temps de l’écouter, et de bien comprendre les paroles, pour réaliser,  à votre tour, tout le chemin que vous avez parcouru pour arriver où vous en êtes actuellement. Le vôtre aussi a dû être très différent du mien. Car il est le vôtre, vous avez eu vos épreuves, vos doutes, vos inquiétudes, mais soyez reconnaissant de vos décisions qui font qu’aujourd’hui vous êtes la personne que vous êtes devenue.

Voici les paroles du refrain;

Pour en arriver là

J’ai trop douté de tout de moi, de Dieu, de vous

J’ai laissé derrière moi tous mes rêves d’enfance

Aujourd’hui j’ai le cœur presque en état d’urgence

Pour en arriver là

Je crois bien qu’avec vous si j’avais rendez-vous

Sans l’ombre d’un regret

Pour en arriver là

Je recommencerai

Je crois que le passé est garant de l’avenir. Le plus bel exemple que je prends toujours est le même. Celui de votre enfance, et de la ténacité de vos parents. Quand ils vous apprenaient à marcher, ils vous accotaient sur un mur, et ils vous invitaient à aller les rejoindre. Quand vous essayiez, vous tombiez et vous pleuriez. Ils vous essuyaient les yeux et vous replaçaient sur le mur. Après plusieurs tentatives, vous vous êtes mis à marcher et quelques mois après vous avez appris à courir. Si vos parents n’avaient pas été tenace, réalisez-vous que ce matin au lieu de vous lever de votre lit, vous auriez rampé en bas du lit.  Imaginez-vous toutes les problématiques que vous auriez rencontré tout au long de votre vie si la ténacité de vos parents n’avait pas été là!

Plusieurs années plus tard, on dirait que l’on laisse plus de place au doute, au manque de confiance en soi. Certains comme moi ont investi dans des mentors, des thérapies; toutes ces personnes ont leur nécessité. Ils nous font prendre conscience de tout le chemin que nous avons parcouru. Ils nous apportent des clés, des outils pour vivre et pour affronter les situations qui sont sur notre chemin. J’ai souvent remarqué que les solutions que nous vivons partent toutes de l’intérieur de nous. Mais nous étions trop près de la situation pour la voir dans son ensemble. Alors quand cela nous arrive, reculons et regardons la situation à laquelle nous somme confrontés avec les yeux d’une personne éloignée.  Un coup d’œil différent va nous permettre de voir la situation d’un point de vue différent.  Ou encore imaginez-vous si un ami venait vous demander conseil sur cette même situation. Que lui conseilleriez-vous? À partir de ce moment appliquez votre conseil.

Prenez le temps d’analyser la situation, les plus et les moins, les avantages et les désavantages. Aussi je vous invite à la méditation et la visualisation avant de prendre une décision. Il faut que vous soyez honnête avec vous; sans honnêteté, vous allez prendre une orientation qui va vous créer plus d’inconfort et cela va devenir une nouvelle situation que vous aurez à affronter plus tard.

Je vous invite à faire un exercice cette semaine, prenez le temps de noter, dans un cahier, tout le chemin que vous avez parcouru pour arriver où vous êtes et qui vous êtes. Après avoir noté votre chemin, prenez le temps de vous dire merci de vous avoir choisi et de prendre conscience de tout le chemin que vous avez parcouru.

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Acceptons-nous, comme nous sommes!

En tant qu’être humain, on a tous une part consciente et une part inconsciente. Ce qui nous empêche de vivre un peu, ce qu’on veut consciemment, c’est ce qu’on a vécu inconsciemment. Cette affirmation est difficile à comprendre, mais il est bien évident que ce que nous avons vécu et qui a marqué notre inconscient laisse des traces dans notre présent.

La première étape, c’est d’apprendre à s’accepter tel qu’on est avec nos défauts, nos qualités, avec la vie qu’on a eue jusqu’à maintenant. Être soi est un point de départ. Ce n’est pas facile de s’accepter, mais en fait, on finira toujours par le faire parce qu’au bout d’un moment, ça devient plus facile que d’avoir mal.

Quand vous arrivez à conjuguer en un seul moment ces deux espaces qui existaient auparavant, c’est-à-dire là où je suis et là où j’aimerais être, ce que je suis et ce que j’aimerais devenir, vous réunissez les deux en un seul. « Ce que je suis maintenant, c’est ce que je désire le plus » affirme Franck Lopvet. Un des conférenciers les plus influents du moment, il a reçu et aidé des milliers de personnes à travers ses masterclass, ses stages et ses vidéos.

Inclassable, souvent inattendu, il est tout à la fois philosophe et penseur contemporain qui nous enseigne de s’accepter tel que l’on est avec le beau et le laid.

Il affirme que nos enregistrements inconscients nous amènent dans des situations que, consciemment, on ne voudrait pas vivre. Chercher à devenir une autre personne révèle à quel point être soi est inacceptable alors que, justement, c’est ça le problème. C’est de s’accepter tel que l’on est. En s’acceptant tel que l’on est, on n’a plus à courir après les choses, les choses viennent à nous. Si nous restons nous-mêmes, nous attirerons à nous les choses que l’on désire. Rien de plus simple.

Avant les choses étaient bien ou mal; maintenant je les regarde comme étant bien et mal. Lopvet nous enseigne que notre vie est faite de ces émotions qui nous arrivent, et qui touchent notre conscient ou notre inconscient. Aussi, ces émotions vont développer ce que l’on appelle un ressenti. Si elles passent, et ne s’arrêtent pas à l’intérieur de nous, elles ne laisseront aucune trace sur notre disque dur.

Celles qui, par contre, s’arrêtent en chemin pour n’importe quelle raison restent emmagasinées sur notre disque dur. Et cette émotion refera surface dès que nous la solliciterons. Le seul moyen de nettoyer notre inconscient, c’est de la forcer à rencontrer une émotion similaire et de la gérer différemment pour qu’elle puisse devenir comme l’émotion qui passe sans laisser sa trace sur notre disque dur.

Cela dit, il y a des douleurs que l’on gardera jusqu’au bout. Et on va simplement apprendre à ne pas les guérir. Je conseille d’oser vraiment prendre de face ce qui nous fait le plus mal. À la première tentative, quand ces émotions nous arrivent, c’est de les repousser pour ne pas les ressentir, et le deuxième réflexe est de se demander « Pourquoi moi? ».

Une technique que certains d’entre vous emploient est de trouver un coupable à l’émotion que nous vivons; trouver un coupable nous permet de ne pas avoir à ressentir ce que l’on doit ressentir. Souvent, le coupable que nous avons trouvé n’est pas le bon, parce que le bon est souvent la personne qui la vit cette émotion.

Je vous recommande lorsque cela vous arrivera de prendre l’habitude de vivre cette émotion. Chaque fois que vous accepterez l’émotion, c’est une solution qui se gravera sur votre disque dur. Vous serez plus léger après, il y a quelque chose qui se répare au fur et à mesure dans votre inconscient. L’acceptation de vivre les émotions que la vie met sur notre chemin fait aujourd’hui les personnes que nous sommes devenus. Je crois que les évènements qui apparaissent dans notre vie sont le retour d’onde et d’énergie que nous émettons.

Comment arrivons-nous à nous accepter tels que nous sommes? À force de travail sur notre conscient et notre inconscient. Il faut accepter de vivre les émotions, de les nommer et de les affronter pour qu’elles ne puissent pas empoisonner notre vie.  J’ai confiance en vous, tout le monde peut s’accepter comme il est; il faut juste savoir faire la distinction entre le bien et le mal.

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