Comment atteindre mes objectifs?

Une excellente question que nous nous posons tous de temps en temps.  Quand les gens me demandent, Denis comment je peux atteindre mes objectifs? Ma première réponse est, il faut que tu les écrives. Tant que tu n’auras pas couché sur papier tes objectifs précis et mesurables, tes objectifs demeureront une idée.  Rien de pire que d’avoir des objectifs intéressants et de ne pas avoir de chemins pour savoir comment les atteindre.

« Le plus grand danger qui nous guette n’est pas de viser un but trop élevé et de le manquer, mais plutôt de choisir une cible trop modeste et de l’atteindre »

                                                                                   Michel-Ange

Vous voulez être l’exception à la règle, vous voulez faire partie du 3% de la population qui prend son objectif au sérieux et qui,  par conséquent, a un rendement supérieur. Pour réussir, il ne faut pas avoir trop d’objectifs, vous devez vous fixer des objectifs dans des sphères de votre vie où vous voulez y apporter des changements. Sans un but précis couché sur papier, vos chances de réussite diminuent considérablement.

Voici trois conseils que je vous recommande de mettre en place pour réussir à atteindre vos objectifs;

  1. Couchez vos objectifs sur papier.

C’est indispensable! Il n’y a pas d’autre option. Tant que vous n’avez pas couché vos objectifs sur papier, ils ne sont que des idées dans votre esprit. Vos objectifs doivent être à la fois précis et mesurables.  Je veux acheter la voiture de mes rêves, d’ici mai 2022. D’ici le mois de mai, je vais faire des recherches, sur le cout d’acquisition, le cout des assurances, des plaques, de la consommation d’essence. S’il faut que je mette de l’argent de côté pour avoir un dépôt lors de l’achat et le taux de financement.  Durant tous les mois qui suivront jusqu’au mois de mai 2022, je vais décortiquer cette période en petites périodes avec de petits objectifs tout en me préparant dans le chemin de mon objectif.

  • Parlez de vos buts à un ami.

Parlez de vos buts à un ami ou un collègue. Ils deviennent ainsi plus réels. Vous déclarez votre objectif, cela renforce votre engagement, votre détermination dans l’atteinte de ce but. Vous sollicitez leur appui, vous leur demandez de vous soutenir dans ce chemin.  Vous ne voulez pas le décevoir, vous ne voulez pas passer pour un grand parleur.  Il faut choisir la bonne personne à qui nous allons donner nos objectifs, car si notre choix n’est pas le bon, nos amis vont nous décourager. Alors faites le bon choix.

  • Mettez en place un système de vérification.

Prenez le temps de mettre en place un outil pour vous assurer d’atteindre vos objectifs. Avoir continuellement dans votre champ de vision la liste de vos objectifs. Certaines personnes les mettent dans leur cellulaire comme fond d’écran, sur leur tablette ou leur ordinateur. J’ai déjà entendu des personnes me dire qu’ils ont collé un bout de papier dans le miroir de la salle de bain, comme ça tous les matins en faisant leur toilette, ils prennent le temps de les relire. La réussite de cet outil est aussi d’être capable d’évaluer où nous en sommes rendus dans notre chemin vers la réussite.

Pour ceux qui n’ont jamais fonctionné avec une liste d’objectifs, je vous recommande de débuter avec ce que je vous propose ici. Prenez trois catégories de votre vie pour lesquelles vous aimeriez que des choses changent. Choisissez parmi les catégories suivantes: finance, santé et forme physique, relations, emplois et carrière, biens matériels, croissance personnelle, temps libre et loisirs. Alors faites vos choix, faites-vous un tableau avec 4 colonnes, la première pour indiquer la catégorie, la seconde l’objectif, la troisième le chemin, l’action à faire ou l’action que vous devez poser, la quatrième et dernière, le délai que vous vous fixez pour réussir à atteindre vos objectifs.

Pour le néophyte, je vous recommande de vous fixer trois objectifs pour débuter. Une fois que vous en avez atteint un, vous le remplacez par un autre. Soyez réaliste ! Pour réussir cet exercice, vous devez vous fixer des buts atteignables dans un délai de six mois maximum. Sinon, un délai trop long risque de vous démotiver, et lorsque vous vivrez cet état, vous comprendrez que la réussite de cette habitude est de débuter par 3 objectifs. Plus vous mettrez cet outil en pratique dans votre vie, plus vous serez motivé pour passer de 3 à 4 ,5 ou 6 catégories.

Je vous invite à ne pas baisser les bras. Si vous avez des moments de découragement, retournez au début et parlez à votre ami afin de solliciter son aide moral. Vous remarquerez qu’il souhaite autant que vous que vous réussissiez.

Avec le temps vous réaliserez que nous sommes capables de grandes choses, il faut juste y rêver. Travailler pour atteindre votre objectif est une grande source de motivation. Plus d’efforts vous ferez pour réussir, plus le degré de satisfaction sera grand. Prenez exemple sur toutes les grandes équipes qui ont gagné la coupe Stanley ou l’athlète qui gagne aux Olympiques. Leur démonstration de joie leur font oublier tous les efforts qu’ils ont dû mettre pour atteindre leur but.

Toi, comment réagirais-tu lorsque tu atteindras ton but, je vous suggère de réagir comme si tu gagnais la coupe Stanley. Parce que l’euphorie que tu ressentirais, tu en deviendrais accro, et tu voudras revivre cette sensation. C’est une bonne drogue, à laquelle on peut devenir dépendant, c’est gratifiant. Alors, prenez un stylo et un cahier de notes et inscrivez vos objectifs. Suivez le chemin démontré.

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Quoi faire pour être heureux?

Les êtres humains se posent cette question, de plus en plus souvent.  Les réponses peuvent être différentes, que l’on soit un homme ou une femme.  Mais pour moi, cette question est très légitime. De tous les jours, le besoin d’être heureux est une priorité que les gens veulent en privilégier. Souvent, il m’a été demandé : « Qu’est-ce que je dois faire pour être heureux ? ». Quand les personnes me posent cette question, je leur demande si c’est parce qu’actuellement tu es malheureux ; la majorité des fois, les gens me répondent, pas tant.  Alors je leur demande de prendre conscience de leur réponse.

C’est un besoin très primordial d’être heureux, c’est une sensation de plénitude, de joie, de réconfort.  Être heureux, c’est aussi très superficiel, quand pouvons-nous dire que nous sommes heureux.  Selon David Laroche, coach et motivateur, il enseigne huit faits pour être heureux. Dans ses termes à lui, il prétend de se placer dans un état de bonheur, je résume ceci par faire comme-si.  Mais parmi ces faits, certains ont retenu mon attention. Faire ce que vous aimez, récemment je vous ai parlé de cette situation, pour moi il est clair que pour être heureux, il faut au départ faire ce que l’on veut le plus au monde.  Que ce soit le travail, imaginez-vous vivre la situation de partir pour le travail à reculons parce que nous ne sommes pas bien dans la tâche que nous accomplissons. Que faisons-nous avec cela, sommes-nous heureux ?

Il préconise aussi d’agir en fonction de ses valeurs, ne faites jamais quelque chose qui est contre vos valeurs, car il n’y a rien de plus désagréable que d’être obligé de faire quelque chose qui est contre nos valeurs profondes qui font la personne que nous sommes. Le mot obliger ne va pas avec bonheur.

Pour être heureux, il faut se choisir. Prioriser des situations, des actions, que nous ressentons comme être humain.  Je crois que si notre société prenait plus le temps de valoriser les moments où nous pensons à nous, David Laroche, mentionne souvent dans ses chroniques, que les douleurs que nous avons vécues créent aussi du bonheur.  Quelle grande vérité, prenez le temps d’y réfléchir et vous m’en donnerez des nouvelles, pour moi ça à marché.

Les deux derniers points pour moi qui sont importants est d’exprimer de la gratitude, à tous les jours prenez le temps de dire merci à quelqu’un ou à quelque chose. Souvent le matin, en me levant, je dis merci à la vie, merci d’être encore là, merci aux gens que j’aime et qui font l’homme que je suis.  Il ne faut pas que les mercis soient des automatismes, il faut qu’ils soient sentis. Normalement, un vrai merci nous apporte une sensation agréable et pleine de bonté ; on dirait que notre cœur sourit.

En terminant, Laroche nous demande de regarder dans le passé et de constater tout le chemin parcouru, de regarder tous les moments de bonheur que nous avons vécus et réfléchir à la question du début quoi faire pour être heureux, et peut-être que votre réponse sera : continue de faire ce que tu fais, apprécie la vie et sois reconnaissant pour tout ce que tu as et ce que tu as fait et choisis-toi.

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Une point de vue intéressants (PDVI)

En terminant la lecture du livre « Sois toi et change le monde » du Dr. Dain Heer, j’ai beaucoup apprécié sa façon d’expliquer que, pour des situations similaires, nous pouvons avoir des points de vue différents. Voudriez-vous d’une vie avec une richesse totale? S’il y avait une clé pour vous amener plus rapidement à votre objectif, la prendriez-vous?

Laissez-moi vous présenter le concept que Dr. Heer a développé : le point de vue intéressant ! (PDVI) Cela veut simplement dire que vous permettez à chaque point de vue, que ce soit le vôtre ou celui de quelqu’un d’autre, d’être juste un point de vue intéressant (PDVI. On appelle cela aussi le laisser-être. Cela semble plutôt simple n’est-ce pas?)

Sachez ceci : vos points de vue créent votre réalité, votre réalité ne crée pas vos points de vue.

Avez-vous remarqué que lorsqu’une situation exactement identique arrive à plusieurs personnes, elles ont tous des points de vue différents. Juste un point de vue différent, c’est une façon de choisir de changer votre point de vue de passer du jugement au laisser-être.

En d’autres termes, deux personnes différentes, qui vivent similairement la même situation, ne verront pas la situation de la même manière. Il est plus sain de vivre la situation dans le laisser-être que dans le jugement. À votre avis, qui a eu le plus de facilité à avancer et à créer une nouvelle vie. L’homme qui voit dans le laisser-être ou les personnes qui avaient des tonnes de jugements? Très probablement l’homme au laisser-être.

Quelle est la différence? Le choix de leur point de vue, quel est celui qui marche le mieux pour vous la gratitude du laisser-être ou le jugement d’être la victime.

Sachez ceci, s’il vous plait :

  1. Le point de vue que vous adoptez est toujours votre choix.
  2. Le changer en quelque chose de différent qui marcherait mieux pour vous est également un choix.
  3. Vous n’avez pas à rester coincé dans un point de vue que vous avez actuellement quel qu’il soit.
  4. Les outils que vous apprenez, y compris juste un point de vue intéressant (PDVI), vous permettent de changer de point de vue aisément et sans douleur. Et quand ces points de vue changent, un espace de nouvelles possibilités est disponible pour vous.

La magie se produit quand vous êtes capable de changer votre point de vue en passant d’un point de vue limité et plein de jugement a un point de vue ouvert pour vous. Quand vous changez votre point de vue, votre réalité change également. Alors vos points de vue limités, vous n’avez qu’à les détruire simplement parce que vous le pouvez.

La manière la plus facile de changer n’importe quelle situation, c’est de changer les points de vue que vous avez. Quand vous changez vos points de vue, la situation autour de vous change pour s’adapter à votre nouveau point de vue.

Donc si vous voulez une liberté totale, souvenez-vous que votre meilleur ami est juste un point de vue intéressant. Comment l’utiliser? Vous devez tout d’abord commencer par choisir de fonctionner à partir d’un point de vue intéressant, puis pour chaque point de vue que vous avez, qu’il soit positif ou négatif.  Vous pouvez vous dire à vous même : « C’est un point de vue intéressant » même si vous ne le croyez pas. Alors attendez un moment, regardez comment le point de vue change et dites-vous à nouveau à vous-même « C’est un point de vue intéressant que j’aie ce point de vue ».

Ensuite regardez comment vous ressentez ce point de vue. Si c’est vraiment léger, alors vous avez terminé. Si c’est plus léger, mais que vous avez encore un point de vue, essayez de le dire un certain nombre de fois, en faisant une pause chaque fois. Après avoir pratiqué cela un certain temps, la plupart des gens trouvent qu’il est plus facile de transformer leurs points de vue qu’ils ne l’avaient pensé.

Êtes-vous prêts à utiliser votre nouveau meilleur ami, juste pour la journée de demain pour essayer? Si c’est le cas, pour chaque point de vue que vous avez dit simplement « C’est un point de vue intéressant » jusqu’à ce que n’ayez plus de point de vue.  Vous allez commencer à voir à quel point il est facile de changer, y compris vos propres points de vue, qui sont rarement intéressants pour vous. Si vous ne faites rien d’autres que cet exercice pendant six mois pour chaque point de vue intéressant (PDVI) que vous avez, votre vie entière va changer.

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La critique!

Depuis que le monde est monde, la critique fait partie de nos vies. J’ai souvent attribué à la jalousie, le mot critique. Je me disais que les gens critiquent parce qu’ils sont jaloux. Nous remarquons que cela arrive souvent avec les gens qui ont des choses que les autres n’ont pas.  Le plus bel exemple, les millionnaires, les gens critiquent les millionnaires parce qu’ils ont de l’argent et pour les critiqueux, ils la dépensent pour des choses inappropriées selon eux.  Mais posons-nous la question « comment aurait réagi notre critiqueux s’il avait été millionnaire ».

Nous ne savons pas comment la critique à répétition peut détruire quelqu’un. Regardez votre vie, vous avez surement des millions d’exemples de personnes qui ont détruit des personnes ou des carrières en critiquant leur prochain.  Souvenons-nous des gens de qui nous avons entendu dire « lâche la cuisine ce n’est pas bon ce que tu fais », « arrête le sport, tu ne seras jamais Wayne Gretsky » ou, « tu sais, investis dans tes études, l’art ce n’est pas pour toi ».

Demandez-vous ai-je été cette personne? Si oui, serait-ce possible que j’aie détruit des carrières. Mais l’important, aujourd’hui, est de prendre conscience des choses que l’on doit changer. Pour continuer, est-ce que selon vous tous nos chefs québécois n’ont jamais raté une recette?  Est-ce que la Ligue nationale est composée de juste des Wayne Gretsky? Est-ce que nos grands peintres, sculpteurs et artistes ont tous réussi leur première œuvre. Les réponses à toutes ces questions sont non. C’est à force de travail qu’ils sont devenus ce qu’ils sont devenus. Ont-ils reçu des critiques non justifiées, j’en suis certain, mais ils ont continué à pratiquer dans le but de faire mentir les critiques.

Il existe deux genres de critiques. La critique constructive et la critique non justifiée. La critique constructive est, pour moi, la seule à laquelle j’accorde de l’importance, car elle me permet d’acquérir de nouvelles connaissances. Quand je reçois une critique, je demande à cette personne pourquoi. Qu’est-ce qu’elle n’a pas aimé? Si la personne est honnête, elle va me partager son analyse et ensuite je vais la remercier de sa franchise et je vais prendre note. Car, pour moi, sa critique est justifiée; elle a des arguments et son intention, en me faisant part de son analyse, est que je m’améliore. Aussi je ne serais plus gêné de lui montrer mes œuvres parce que je sais qu’elle sera honnête avec moi.

La critique non justifiée est la critique qui cause plus de mal que de bien. Souvent, elle est gratuite, elle vient d’une personne qui n’aurait jamais osé faire ce que vous avez fait! Vous avez certainement tous reçu des critiques non justifiées. Quand vous demandez à votre interlocuteur pourquoi, il bégaie, il essaie de se sortir de ça par des parce que… en hésitant. Je pense qu’il ne faut accorder aucune importance à ce genre de critiques.

Si maintenant vous réalisez avoir été ce genre de personne, alors apportez des changements dans votre façon de vous comporter. Moi j’ai été cette personne et j’ai changé, parce que j’ai longtemps été jaloux des gens qui avaient de l’argent. Je viens d’un milieu ouvrier, d’un quartier de travailleurs, où les gens riches étaient rares.  Pour m’aider à bien comprendre, je me suis intéressé à ces gens qui font de l’argent. J’ai lu des biographies de gens qui ont réussi. Tous sont unanimes : ils ont eu des bouts difficiles, très difficiles et ils se sont souvent remis en question.  Mais ils ont tous les mêmes critères : des passionnés de leurs modèles d’affaires. Alors, j’ai compris que, si je voulais devenir millionnaire, je devais faire comme eux, devenir un passionné.

Je ne pense pas que mes critiques envers ces gens les aient affectés. Parce qu’ils doivent en avoir entendu des pires. Mais si je m’étais acharné sur une jeune artiste qui débutait, un jeune sportif qui avait des rêves de la LNH, ou un jeune qui rêvait d’avoir un restaurant, je lui aurais dit « tu sais tes biscuits, sont un peu durs, ou ont un drôle de goût ». J’aurais certainement tué le rêve de ces enfants.  Alors je vous invite à changer, à partir d’aujourd’hui quand vous voudrez critiquer,  demandez-vous, ferais-je mieux qu’eux! Et si l’envie de critiquer vous titille, demandez-vous quel conseil vous pourriez leur donner pour ne pas tuer leurs rêves. Car qui sommes-nous pour tuer les rêves de ces gens?

Dans ma vie, j’ai rencontré tellement de tueurs de rêves à qui j’ai accordé tellement d’importance, qu’ils ont fait que j’ai découvert plus tard ma force intérieure, mon estime de moi. Quand vous croyez en vos rêves, vous devenez invincible. J’aurais tellement d’expériences personnelles à vous partager pour vous démontrer qu’avoir confiance en soi déplace des montagnes. Moi je veux que nous apportions des changements à notre société. Quand Josée et moi avons été gouverneur optimiste, notre thème était « venez changer le monde ». En 2010-2011, nous croyions que notre contribution aux optimistes aurait aidé notre société; je crois que nous y avons contribué du mieux que l’on pouvait. C’est pourquoi je n’ai pas terminé de changer le monde, mais je commence par changer mon monde. J’ai fait taire et mis au défi tous les critiqueux de ma vie. Ceux qui me disaient « arrête d’écrire, tu fais trop de fautes, tu ne connais pas ton français ».  Je me suis choisi, j’ai un excellent correcteur, un ami indispensable à qui je dois tout. Cette amitié fut créée par les optimistes qui ensemble ont changé le monde. Merci d’être dans ma vie, je te suis très reconnaissant.

Mais ma volonté d’écrire était plus importante que ces critiqueux qui m’abaissaient sans cesse. En terminant, quel genre de critiqueux êtes-vous? Si vous êtes du mauvais côté alors, changez.

Venez changer le monde!

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Persuader ou convaincre!

Persuader, convaincre c’est inciter les autres à adopter une idée ou un comportement particulier grâce à un argumentaire. Quand nous voulons persuader ou convaincre des personnes proches ou des supérieurs, il faut se préparer des arguments pour réussir à les faire changer d’idée.  Ceux qui savent utiliser la persuasion ont le pouvoir de capter l’attention de leur auditoire et ont un pouvoir particulier de répartie.  Souvent je dis aux gens, lorsque vous tentez de persuader ou convaincre des gens, vous allez obtenir une résistance de l’autre partie.

La persuasion est une compétence essentielle à la réussite de toute relation, personnelle comme professionnelle. Pour persuader ou convaincre, il ne suffit pas de dire des arguments raisonnables, il faut aussi présenter des informations ou des idées de façon à susciter l’intérêt et les émotions. La persuasion est à la fois un art et une science : un art parce qu’il faut avoir la capacité d’inspirer la confiance, et une science parce qu’elle s’appuie sur une bonne compréhension du comportement humain et d’une communication efficace.

Comme exemple, vous demandez une augmentation de salaire. Vous allez faire la demande et vous préparer pour persuader et convaincre votre supérieur que vous méritez ce que vous demandez. En préparation, vous allez préparer plusieurs arguments qui justifient vos demandes. Vous allez même pousser l’audace en vous préparant des réponses à des réticences que votre supérieur pourrait vous donner comme réponse négative à votre demande.  Depuis plusieurs années, je me prépare trop des fois, ce qui me donne un sens de réparties assez facile. Il est rare que je sois surpris par une question à laquelle je ne m’attendais pas.  Aussi il est important d’inspirer une confiance; tout est une question d’attitude. Je crois que c’est plus de 50% de la réussite de votre persuasion.

Les composantes de la persuasion nécessitent préparation et organisation. Elle fait appel à quatre éléments :

  • la crédibilité;
  • la bonne compréhension de son public (récepteur);
  • une argumentation convaincante;
  • une communication efficace.

Avoir de la crédibilité;

Il est indispensable de pouvoir compter sur une certaine crédibilité pour pouvoir convaincre. Votre crédibilité se situe à deux niveaux : vos idées et vous comme personne. Dans le cas de vos idées, elles doivent susciter l’intérêt des gens auxquelles vous vous adressez ; il faut les convaincre que votre idée est la meilleure. Dans le deuxième niveau, vous devez être considéré comme quelqu’un de crédible, sérieux et honnête. Généralement, vous allez acquérir ces qualités au fil du temps et des expériences que vous allez vivre. La crédibilité est souvent représentée par cette formule

Crédibilité = confiance + compétence

Plus vous gagnerez la confiance de votre entourage et plus vous allez acquérir de compétences, plus vous serez crédible.

Compréhension de votre public (récepteur);

Pour bien persuader et convaincre, il faut s’adapter à votre public, il faut déterminer quels sont leurs champs d’intérêt. Si vous arrivez à trouver les bonnes personnes à persuader ou à convaincre, vous allez vous sauver un temps fou. Pour vous assurer que vous avez les bonnes personnes, il faut s’assurer que ces gens sont en autorité pour se laisser persuader ou convaincre. Vous devez adapter votre langage, votre jargon, aux connaissances de ces gens. Je pense que de se mettre au niveau des gens que nous voulons persuader ou convaincre, n’est pas un signe de s’abaisser devant ces gens, mais de s’adresser à eux avec le niveau de compréhension qu’ils ont de la situation.

Une argumentation convaincante;

Il vous faut que pour ces gens vous leur proposiez une alternative intéressante et pour se faire vous devez être honnête avec eux. Vous leur démontrez les avantages et les désavantages, en précisant les pour et les contre. Pour préparer votre argumentaire, vous devrez faire des recherches, obtenir des données techniques, des expertises, des connaissances.  Pour bien convaincre, il faut que vous possédiez toutes ces informations sur le bout de vos doigts, et comme expliqué plus haut vous préparer de façon adéquate. Je trouve que de bien orienter les discussions avec des questions dirigées qui feront que votre public (récepteur) vous propose lui-même les solutions de résolutions dans la direction que vous souhaitez. Pour moi cela est une bonne préparation avec un argumentaire solide.

Une communication efficace :

Nous ne le dirons jamais assez combien il est important de bien communiquer. Les personnes possédant un sens de la communication ont un bon sens de l’écoute.  Car pour moi, pour être un bon communicateur, il faut avoir de bonnes oreilles.  Souvent dans les échanges que vous allez avoir avec votre public (récepteur), vous allez les persuader ou convaincre qu’ils aillent dans une direction, ou qu’ils prennent une décision en faveur de vos arguments. Après il faut la communiquer, choisir les bons mots, les bons moments pour faire les annonces. Tous les décideurs que je connais veulent se faire sécuriser, se faire rassurer qu’ils aient pris la bonne décision.

J’ai essayé durant ce court article de vous entretenir sur l’art de persuader ou convaincre. Je vous recommande de faire des recherches et de lire sur le sujet. Tout au long de notre vie, nous devrons mettre ces deux éléments en place pour obtenir ce que nous voulons.  Je sais que vous réaliserez que depuis votre naissance, vous ne faites que cela essayer de persuader ou convaincre vos parents, vos amis, votre conjoint, vos enfants et surtout vos employeurs. Pour devenir plus connaissant sur les sujets, je vous invite à vous renseigner sur les principes de la communication.

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Comment reconnaître mes besoins?

Au moment d’écrire ces lignes je suis incapable de dormir, les idées à l’intérieur de ma tête se bousculent. Depuis deux semaines environ je me suis posé cette question. Est-ce que je fais connaître mes besoins? Ne possédant pas toutes les réponses, je me suis mis à faire des recherches sur le mot besoin.  Ma recherche m’a donné l’opportunité de trouver des travaux de référence réalisés en la matière qui débouchent sur l’idée d’un classement des besoins humains en trois grandes catégories : les besoins fondamentaux, les besoins primaires, les besoins secondaires.

  1. Les besoins fondamentaux, également appelés besoins élémentaires, nécessaires ou encore physiologiques, sont les besoins indispensables au système « humain » en tant qu’élément de base vivant dans un environnement défini : Se loger, s’habiller, assurer sa sécurité physique, se nourrir, se reproduire, voici ce que sont les besoins fondamentaux.
  2. Les besoins primaires sont des besoins légitimes mais qui se distinguent des précédents dans la mesure où leur satisfaction ne présente pas le même caractère d’urgence vitale. La définition et l’expression des besoins primaires dépendent directement de la personne elle-même, ainsi que de la situation concrète, du temps et de l’environnement où elle se trouve.
  3. Les besoins secondaires recouvrent les besoins légitimes qui permettent aux personnes de se réaliser humainement, voire idéalement de se surpasser. Ce type de besoin n’est pas une urgence vitale (besoin fondamental), ni une priorité nécessaire (besoin primaire), mais relève de la volonté de la personne de trouver un sens et de réaliser et/ou d’achever sa vie en conformité avec sa volonté, avec son projet de vie ou sa vocation.

Comment arrivons-nous à classer nos besoins selon cette échelle de catégorie, je vous invite à essayer de prendre le temps de bien identifier vos besoins et de les classer selon les catégories. Pour moi l’évidence même sont les besoins fondamentaux qui sont prioritaire et essentiel pour vivre. Dans le cas des besoins primaires, pour moi ces besoins sont ce qui déterminent qui nous sommes, ou nous en sommes rendus dans nos vies.  Et au niveau des besoins secondaires, sont des besoins, des rêves auxquels nous aspirons.  Ces besoins sont plus axées sur le futur.

Selon Abraham Maslows, tout individu se développe grâce à la satisfaction de ses besoins. Pour illustrer les besoins, ce théoricien de la perspective humaniste a regroupé ceux-ci en pyramide des besoins. Besoin du maintien de la vie, besoin de protection et de sécurité, besoin d’amour et d’appartenance, besoin d’estime de soi et besoin de réalisation.

Les besoins plus pressants se retrouvent au bas de la pyramide. Si ceux-ci ne sont pas comblés, l’individu ne peut pas monter dans l’échelle de la pyramide et il aura toujours un manque à combler. Tout humain aspire au besoin de réalisation et ce dès l’enfance, notamment par le jeu. Une personne qui arrive à combler tous ses besoins à répétition sera heureux et en santé. Au contraire, quelqu’un qui a de la difficulté à parvenir à la satisfaction de ses besoins sera souvent malheureux. Le passage d’un niveau à l’autre se fait progressivement, donc il est impossible de sauter un niveau sans le combler à un autre. Par exemple, si je n’ai aucun ami avec qui partager ou discuter (besoin d’appartenance), je ne pourrai pas ressentir le sentiment d’avoir de la valeur (estime de soi).


Qu’est-ce qui nous pousse à satisfaire nos besoins?
La motivation est l’action qui nous pousse à combler un manque (donc un besoin). Par exemple, un étudiant qui ressent le besoin d’appartenir à un groupe d’amis aura la motivation nécessaire pour être accepté au sein de ce groupe.

En terminant, prenez le temps de faire connaître vos besoins à vos gens proches de vous.  Identifiez vos besoins et classez-les dans la pyramide.  Faites cet exercice le plus sincèrement possible et le résultat sera concluant.

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Réalisons nos rêves!

La semaine dernière dans ma chronique « Visualisez vos rêves », je vous disais comment pratiquer la visualisation. Cette semaine, je veux vous donner la suite dans le cheminement pour que vos rêves se réalisent. Depuis toujours, les gens rêvent à des choses qui pour eux selon leur conscience sont inatteignables. Chaque personne est maitre de ses rêves, mais elle se laisse influencer de façon négative par toute sorte de pensées qui les empêchent de se mettre en action. Chacune d’entre elles rêvent tout à des choses différentes. Est-ce que mes rêves sont mieux que les vôtres, non chacun à ses désirs, ses besoins.

J’ai toujours apprécié les gens qui savent ce qu’ils veulent. Je trouve que, dans notre société, peu de gens se mettent en action dans la réalisation de leurs rêves. Vous, dans quelle catégorie de personnes êtes-vous?

Pour débuter, inscrivez vos rêves sur une liste qui seraient les choses que vous aimeriez qu’il vous arrive. Ensuite, prenez chaque rêve et écrivez les étapes que vous devrez passer pour réaliser votre rêve. Pour vraiment prendre l’engagement de vous mettre en action, vous allez inscrire une date pour laquelle vous souhaiteriez que ce rêve se réalise.  Comment se met-on en action? 

Avant d’arriver à la première marche de l’escalier (1re étape), il faut se préparer à se mettre en action. Pour moi, la première étape est de me réserver des plages horaires dans mon agenda pour me concentrer sur la réussite de l’étape. Souvent, pour avancer dans mon rêve, je dois faire des recherches, lire des articles sur les sujets, je dois m’informer. C’est dans mes recherches que souvent je découvre des erreurs que je peux m’éviter de faire parce que ma recherche est bien faite.  Lorsque mes plages horaires sont déterminées, rien ne peut les déplacer. Aucun évènement ne saurait déplacer le temps que je me réserve dans le cheminement dans la réalisation de mon rêve.

Lorsque j’arrive à ma période réservée, souvent, je prends quelques minutes de réflexion ou de méditation sur le travail que je vais faire pour réaliser mon étape.  Comme expliqué la semaine dernière, je visualise l’étape et je me mets en action.  Souvent, au début, il est difficile de mettre ces choses en pratique, mais je vous invite à être très tenace. Vous allez voir, à la longue, cela va être payant. Enlever de mon subconscient les choses qui peuvent déplacer mes pensées dans une autre direction. Je dois respecter le temps que je m’alloue et je m’y consacre entièrement. Tout mon corps et mon esprit doivent être enlignés vers l’atteinte de mon objectif.

Nous sommes tous pris par la vitesse à laquelle notre vie se déroule; les jours, les semaines et même les années passent.  Nous nous réveillons après un certain temps et prenons conscience que nos rêves ne sont pas encore réalisés et que nous sommes toujours en bas de l’escalier. Aucune marche n’a été montée pour atteindre le palier suivant. Alors, ne tardez plus, versez-vous un bon café et prenez la décision de bouger vers l’atteinte de vos rêves. Toutes les personnes qui ont réalisé leurs rêves, ont fait les mêmes premiers gestes : il se sont levés et se sont mis en action.  Ont-ils eu un chemin facile? Je vous invite à lire des biographies de personnes qui ont réussi pour comprendre que quelques fois ces personnes ont eu des embuches et qu’ils ont appris à les surmonter. J’ai déjà lu que plus le chemin de la réussite est difficile, plus le degré de satisfaction sera grand.

Il est important de vous récompenser, tout au long de votre cheminement, dans la réalisation de votre rêve. À chaque marche que vous monter, récompensez-vous. Comme ça, vous allez avoir hâte d’atteindre la prochaine marche. Ce n’est pas obligé d’être une grosse récompense ; ce peut être une petite attention qui vous fera apprécier les bons moments et qui vous félicitera d’avoir gravi une autre étape dans le chemin qui vous mènera à votre objectif.

Un jour, j’ai assisté à une conférence de Bernard Voyer, sur son ascension à l’Everest. J’ai vraiment compris là le cheminement qu’il a dû faire, les difficultés qu’il a rencontrées, les épreuves plus difficiles les unes que les autres.  Tout le temps qu’il a investi pour se préparer, les mois et les années d’entrainement qu’il a dû faire pour 30 minutes sur le toit du monde. Impressionnant tous ces efforts investis pour 30 minutes, mais c’était son rêve et il l’a réalisé. Si vous avez l’opportunité d’assister à cette conférence, je vous la recommande fortement.

Sommes-nous prêts à mettre tous ces efforts pour réaliser nos rêves. La réponse vous appartient. Moi, ça fait quelques années que je travaille dans ce sens. Je sais qu’un jour, la récompense sera appréciée.  Je vois les efforts mis en place comme des étapes ou des marches d’un escalier qui vont m’amener au second étage. Depuis que je mets en pratique cette façon de faire, je réalise de plus en plus de rêves. Cette recette s’applique pour les petits rêves comme pour les grands. Si vous avez besoin d’accompagnement, sachez que je peux vous aider, il suffit de demander!

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Faites ce que vous aimez!

Qui ne rêve pas de faire ce que l’on aime? Pour certains, cela s’avère difficile. Lorsque nous passons notre temps à accomplir des tâches peu satisfaisantes et que nous faisons du surplace simplement pour payer les factures, nous travaillons pour répondre à une nécessité extérieure : nos obligations financières.  Si vous choisissez de payer vos dettes en faisant un travail qui vous déplait, vous avez constamment des pensées négatives qui occupe votre cerveau et le désintéressement de la tâche ne fait que s’aggraver.

Faites le calcul, le nombre d’heures par semaine que nous passons au travail représente près du tiers de notre vie.  Êtes-vous de ceux qui accepteraient d’investir un tiers de votre richesse dans quelque chose qui ne vous rapporterait rien, aucun gain, aucun profit. Soyons conscient qu’actuellement plusieurs d’entre nous vivent ce genre de situation.  Je crois que le temps passe vite et qu’aujourd’hui, notre bien-être mental est essentiel à la satisfaction que nous ferons de notre vie lorsque nous serons dans le dernier droit.

Faire ce que l’on aime, est un privilège, mais aussi un choix. Pourquoi les gens passent-ils leur vie à faire des choses qu’ils n’aiment pas? Parce qu’ils croient que cela est leur chemin et non qu’ils puissent décider des routes qu’ils choisiront pour tracer une voie à leur vie.  Un jour, j’ai lu une pensée qui m’habite constamment qui se lit comme suit, va où il n’a pas de chemin et laisse ta trace. Lorsque vous aurez compris que toute dimension sur laquelle vous vous concentrez prend de l’ampleur, vous réaliserez que c’est une véritable folie d’essayer de se débrouiller en quelque chose que l’on déteste. Résumons ce point : plus vos pensées seront occupées par des choses négatives, plus votre degré de satisfaction sera à son plus bas.

Certains pensent que faire ce que l’on aime dans la vie ne s’adresse qu’à ceux qui ont beaucoup de moyens.  J’ai rencontré des gens qui ont de très bas salaires, mais qui occupent une tâche qui les comble au plus haut point. Notre société a besoin de ces gens qui travaillent dans des milieux où le salaire n’est pas la raison de leur implication. Je suis certain que vous connaissez ce genre de personne pour qui le salaire n’est pas le point premier dans leur recherche d’emploi.  Ces personnes sont des modèles à suivre car elles le font par amour de leur travail ou par amour des gens auxquels elles viennent en aide.

Aujourd’hui, trop de gens occupent des fonctions qui ne les comblent pas au niveau personnel. La journée où les gens comprendront qu’il est important de faire ce que l’on aime dans la vie, ils ne s’en porteront que mieux.  Personnellement, je travaille très fort pour faire les meilleurs choix pour moi. J’ai décidé de me choisir et de faire ce que j’aime dans la vie, que ce soit dans le travail, dans le bénévolat et dans les amitiés.  Je m’entoure de tâches ou de gens avec lesquels je peux grandir comme individu et avec le besoin d’avoir un sentiment de satisfaction à tous les jours où je pars pour le travail ou pour un bon lunch avec des amis.  Merci d’avoir fait ce choix, de faire ce que j’aime. Tentez votre chance et donnez-moi des nouvelles.

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Visualisez vos rêves!

Je veux vous entretenir de la visualisation. Cet exercice est pour moi très bénéfique depuis les années que je le pratique. Il est bien évident que ce ne fut pas une réussite dès les premiers essais, mais c’est à force de pratiquer que l’on devient un meilleur visionnaire.  Je n’ose pas dire que je suis un expert, mais il est évident que je suis meilleur qu’à mes débuts.

Pour qu’une bonne visualisation fonctionne, il est certain qu’il faut se mettre dans un état de réceptivité. Mes plus grandes réussites ont été réalisées lorsque j’ai priorisé trois points importants. L’objectif doit être précis, être positif et il faut que l’objectif doive être au présent. Je vous donne un exemple : nous avons tous des rêves d’avoir plus d’argent ou de partager notre vie avec la plus belle femme du village. Mais je vous donne l’exemple de quelqu’un qui veut acquérir la voiture de ses rêves.  Dans la visualisation qu’il fera, il se verra aller visiter des concessionnaires, arriver avec la marque et la couleur du véhicule désiré. Il ne se laissera pas influencer par la question du prix ou des ajouts sur le véhicule, rien ne sera un frein à acquérir le véhicule dont il rêve depuis très longtemps.  Et enfin, il se verra, au volant de son nouveau véhicule, quitter le concessionnaire. À son nez, lui viendra les odeurs d’un véhicule neuf et la propreté intérieure du véhicule. Pendant qu’il se dirige vers la maison, il regardera les gens qui le rencontreront et qui lui enverra la main tout au long de son parcours.  Voici une expérience de la visualisation.

Le succès d’une bonne visualisation est de faire comme si. Moi, quand je pense à des vacances dans le sud, je mets de la musique d’ambiance de vagues sur une plage, je m’asseois, je me détends et je ferme les yeux ; la musique m’entraine dans ce voyage en faisant comme si j’étais à Cuba sur le bord de la mer avec ma consommation en costume de bain regardant le soleil se lever. Des odeurs me viennent au nez me rappelant un évènement que j’ai déjà vécu. Souvent, je suis surpris que ma visualisation me permette d’entendre des oiseaux chanter et des gens discuter au loin.  Et quand je termine ma séance de visualisation, le bien-être que je ressens est inexplicable, car je viens de rêver, et je viens de me transporter par la pensée à Cuba.

À force de pratiquer la visualisation, vous allez comprendre pourquoi nos grands athlètes, lorsqu’ils gagnent une médaille olympique, se font demander par les journalistes comment ils se sentent avec cette première médaille au cou.  Ils se font répondre : « Je me suis tellement vu avoir une médaille au cou, que j’ai l’impression que ce n’est pas ma première médaille olympique ».

On ne devrait jamais laisser personne influencer nos rêves. Il est certain que si, dans votre entourage, des personnes négatives sont la majorité de vos amis, il y a de fortes chances que vos rêves ne puissent se réaliser. J’ai exclu de mon entourage les gens qui me démotivaient, ces gens que j’appellerais les tueurs de rêves. Mais j’ai souvent dit à mes connaissances qui essayaient de tuer mes rêves que si la détermination de mes parents n’avait pas été si importante lorsque j’ai appris à marcher, je serais arrivé en rampant.  Lors de mon apprentissage à marcher, je suis tellement tombé plus de fois que je réussissais. Je dois à ma mère, qui me relevait et m’encourageait à ce que je recommence, qu’un jour j’ai réussi. Je marche, je fonctionne comme un adulte.  Des fois, ce sont nos parents, les pires tueurs de nos rêves. Un jour j’ai demandé à ma mère pourquoi, maintenant que je suis adulte et que j’ai des rêves, elle n’appliquait pas la même ténacité et l’encouragement que lorsqu’elle m’apprenait à marcher. Souvent, les parents nous expliquent qu’ils ont connu des gens comme nous qui avaient des rêves et qui ont tout perdu.  Je sais que c’est parce qu’une mère ne veut pas que son enfant souffre. Mais la majorité des enfants s’attendent à ce que leurs parents les encouragent et les soutiennent dans l’atteinte de leurs rêves.

Je vous invite à faire de la visualisation et à vous pratiquer. Donnez-vous toutes les chances de réussir. Mettez en place des conditions gagnantes. Et si ça ne fonctionne pas du premier coup,  ne vous découragez pas. Combien de fois pensez-vous qu’un athlète olympique fait des essais/erreurs avant de réussir.  Imaginez combien de fois Bruny Surin a dû pratiquer ces départs des blocs pour qu’un jour, il gagne une médaille. Combien de fois s’est-il  visualisé sur le podium avec une médaille autour du cou, je n’ose y penser. C’est dans la ténacité que l’on reconnait les grands visionnaires. Pratiquez-vous, donnez-vous la chance de vous voir réussir vos rêves!

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Présent ou futur?

Si tu améliores le présent, ce qui viendra ensuite sera meilleur. « Oublie le futur et vis chaque jour de ta vie » de Paulo Coelho (L’Alchimiste) est une grande vérité que je viens de lire ce matin dans ma lecture matinale. Trop de gens travaillent pour un futur et oublient le moment présent. Ça ne démolit pas ma pensée d’avoir des objectifs. Pour réussir à aller à l’étage suivant, il faut prendre l’escalier, se mettre en action, marche par marche, et arriver à l’étage suivant. On ne reporte pas à demain ce que l’on peut faire aujourd’hui. Car quelle garantie avons-nous sur demain? Aucune, et demain est un autre jour avec son lot d’étages à monter.

Trop de gens consultent des personnes qui prédisent l’avenir. Qu’est-ce que cela changerait de savoir quand nous allons mourir? Avant, je voulais savoir parce que je me disais que je ferais tout ce que je veux faire avant de disparaitre. Pourquoi ne pas regarder la situation différemment, pourquoi ne pas vivre comme si aujourd’hui était votre dernière journée.  Je suis certain que vous la vivriez différemment que lors de votre réveil, et bien avant de lire ce texte.

J’ai toujours une liste de mes 25 rêves, que je regardais de temps en temps. Depuis deux semaines, je la lis à haute voix, à tous les matins, dans l’objectif de nourrir mon subconscient. Je l’avais mis de côté depuis quelques années; ces rêves étaient oubliés, je viens de les réactiver.  Longtemps, j’ai dit que je voulais arriver dans la dernière étape de ma vie et n’avoir aucun regret de ne pas avoir vécu tout ce que je voulais vivre. J’ai abdiqué, car je réalise que j’aurai toujours des rêves qui vont nourrir mon imaginaire. Je suis une machine à désirer des choses, des états, des objectifs qui me font avancer comme être humain. Je vous invite à faire comme moi, faites une liste de vos 25 rêves, rien n’est farfelu. Si votre rêve vient de vos tripes, vous allez tout faire pour qu’il se réalise.  Quand vous réalisez un rêve, ne faites pas comme moi. Avant je refaisais ma liste. Aujourd’hui, je rature le rêve réalisé et j’en ajoute un nouveau. Alors je vois le progrès que je fais dans mon chemin de vie.  Alors au travail, faites votre liste!

Nous sommes des êtres d’émotions; nous vivons selon ce que nous sommes. Chacun de nous avons différents parcours de vie qui ont sculpté la personne que nous sommes actuellement. Nous voilà dans la même lignée que la pensée de Coelho, vivre le présent. Je consacre énormément de temps sur moi; certains me diront que c’est ma décision et ils ont raison. Mais prenez conscience quelle est la dernière chose que vous avez faite pour vous. Prendre du temps pour lire, écouter de la musique, aller prendre une marche en pleine nature, surtout que les belles journées s’en viennent. Prendre un rendez-vous pour un soin corporel. Prendre du temps pour voir ou parler à des amis, lorsque le déconfinement arrivera.  Je vous invite à bloquer du temps pour vous dans votre agenda, et oui quotidiennement, vous devriez avoir du temps pour vous.  Mettez-vous en action, il est évident que vous allez faire des erreurs, que peut-être la première semaine, vous allez réussir durant deux jours, mais ne vous découragez pas, gardez l’objectif bien en tête et vous allez réaliser après quelques temps que tous les jours vous avez des blocs de temps destinés à vous.

Cet exercice vous permettra d’être bien dans votre corps et votre âme. Il faut se donner des opportunités où nous priorisons la personne la plus importante, vous. Après avoir pris du temps pour vous, vous serez plus disponible et dans un meilleur état pour les autres (conjoint, enfants, collègues et amis). Ces pistes, que je vous donne, sont pour moi des choses que j’ai essayées et je peux vous dire que ça fonctionne. Il est bien évident que les gens qui vous entourent auront à apprivoiser vos changements. C’est pourquoi je recommande aux gens d’y aller doucement. Je connais trop de gens qui ont changé tellement rapidement que cela a plus généré de conflits que de bien-être.

Prenons l’exemple des gens qui se mettent au régime. Ils s’attaquent tellement sérieusement, apportent d’immenses changements, coupent tellement de choses qui les alimentaient avant que le régime pour eux représente privation, ou une chose à connotation négative. Il faut changer votre façon de revoir l’objectif, changer tranquillement votre alimentation, n’achetez plus les mauvaises choses, ne faites plus les allées à l’épicerie pour vous éviter toute tentation.

En terminant, prendre du temps pour soi n’est pas du temps dépensé; c’est le meilleur investissement que vous pouvez faire. Vous nourrissez votre présent qui est votre personne et ce sont vos proches qui en bénéficieront. Car si vous êtes mieux dans votre peau, vous allez être moins impatients avec les autres. Vous aurez moins l’impression que tout votre temps est pour les autres et qu’il ne vous reste que des miettes. Mes expériences le prouvent, ne faites pas comme moi : n’attendez pas la quarantaine avancée avant de vous choisir. Prenez soin de votre présent pour mieux profiter du futur.

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