Faire ce que vous aimez!

Qui ne rêve pas de faire ce que l’on aime? Pour certains, cela s’avère difficile. Lorsque nous passons notre temps à accomplir des tâches peu satisfaisantes et que nous faisons du surplace simplement pour payer les factures, nous travaillons pour répondre à une nécessité extérieure : nos obligations financières.  Si vous choisissez de payer vos dettes en faisant un travail qui vous déplait, vous avez constamment des pensées négatives qui occupe votre cerveau et le désintéressement de la tâche ne fait que s’aggraver.

Faites le calcul, le nombre d’heures par semaine que nous passons au travail représente près du tiers de notre vie.  Êtes-vous de ceux qui accepteraient d’investir un tiers de votre richesse dans quelque chose qui ne vous rapporterait rien, aucun gain, aucun profit. Soyons conscient qu’actuellement plusieurs d’entre nous vivent ce genre de situation.  Je crois que le temps passe vite et qu’aujourd’hui, notre bien-être mental est essentiel à la satisfaction que nous ferons de notre vie lorsque nous serons dans le dernier droit.

Faire ce que l’on aime, est un privilège, mais aussi un choix. Pourquoi les gens passent-ils leur vie à faire des choses qu’ils n’aiment pas? Parce qu’ils croient que cela est leur chemin et non qu’ils puissent décider des routes qu’ils choisiront pour tracer une voie à leur vie.  Un jour, j’ai lu une pensée qui m’habite constamment qui se lit comme suit, va où il n’a pas de chemin et laisse ta trace. Lorsque vous aurez compris que toute dimension sur laquelle vous vous concentrez prend de l’ampleur, vous réaliserez que c’est une véritable folie d’essayer de se débrouiller en quelque chose que l’on déteste. Résumons ce point : plus vos pensées seront occupées par des choses négatives, plus votre degré de satisfaction sera à son plus bas.

Certains pensent que faire ce que l’on aime dans la vie ne s’adresse qu’à ceux qui ont beaucoup de moyens.  J’ai rencontré des gens qui ont de très bas salaires, mais qui occupent une tâche qui les comble au plus haut point. Notre société a besoin de ces gens qui travaillent dans des milieux où le salaire n’est pas la raison de leur implication. Je suis certain que vous connaissez ce genre de personne pour qui le salaire n’est pas le point premier dans leur recherche d’emploi.  Ces personnes sont des modèles à suivre car elles le font par amour de leur travail ou par amour des gens auxquels elles viennent en aide.

Aujourd’hui, trop de gens occupent des fonctions qui ne les comblent pas au niveau personnel. La journée où les gens comprendront qu’il est important de faire ce que l’on aime dans la vie, ils ne s’en porteront que mieux.  Personnellement, je travaille très fort pour faire les meilleurs choix pour moi. J’ai décidé de me choisir et de faire ce que j’aime dans la vie, que ce soit dans le travail, dans le bénévolat et dans les amitiés.  Je m’entoure de tâches ou de gens avec lesquels je peux grandir comme individu et avec le besoin d’avoir un sentiment de satisfaction à tous les jours où je pars pour le travail ou pour un bon lunch avec des amis.  Merci d’avoir fait ce choix, de faire ce que j’aime. Tentez votre chance et donnez-moi des nouvelles.

Motivaction.coach

6, rue Béram

L’Épiphanie (Québec) J5X3J1

514 609-7739

L’ADN Optimiste

J’ai lu cet article dans la revue optimiste été 2020. Un texte écrit par le président international 2019-2020 Adrian Elcock, un leader de la Barbade. Voici son texte.

Certaines des plus grandes réalisations du monde sont nées dans l’adversité. À maintes reprises, alors que notre monde faisait face à une crise après l’autre, il semblait toujours en ressortir plus fort et mieux préparé pour la prochaine crise. Pourquoi? Parce que notre monde est constitué de personnes. Des organismes vivants qui sont conçus pour réaliser et trouver des solutions aux défis auxquels ils sont confrontés. Des gens comme vous et moi, qui sont nés Optimistes et dont l’instinct naturel inclut la survie!

C’est ce qui s’est produit lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 à 1920, lorsque nous avons vus nos pères fondateurs Optimistes se réunir pour élaborer un plan visant à insuffler de l’espoir et une vision positive, et c’est à cette époque qu’Optimist International a vu le jour. L’histoire a été la même à chaque grand épisode d’instabilité mondiale, lors des guerres mondiales, des épidémies, des événements du 11 septembre et les des catastrophes économiques. Les Optimistes ont surmonté les tempêtes et conçu de nouvelles approches de réussite!

L’année 2020, une année ou beaucoup d’entre nous s’attendaient à aborder la nouvelle décennie avec un enthousiasme sans retenu, mais hélas, nous avons été frappés par un organisme, qui a affaibli les plus puissants d’entre nous. COVID-19 a plus de victime en moins de temps, que toutes les guerres que nous avons connues. Cependant, malgré la manière dont elle a envahi et perturbé nos vies, l’ingéniosité humaine l’emportera.

En ces temps sans précèdent, nous avons vu la technologie se développer à un rythme effréné pour soutenir de nombreux aspects de notre vie. Nous avons vu des scientifiques se regrouper et travailler en collaboration pour mettre au point des vaccins en un temps record. Nous avons vu des esprits jusqu’alors craintifs à accepter de nouvelles idées, maintenant intrépides, avec un désir intense d’apprendre de nouvelles technologies, de nouveaux concepts et de nouvelles idées. Nous avons vu la gentillesse de l’esprit humain se manifester par l’entremise d’étrangers qui aident d’autres étrangers à survivre. Nous avons vu le coup du destin de la vie ouvrir les yeux de ceux qui n’ont jamais prêté une attention particulière aux besoins des autres. Si on me demandait pourquoi, les Opti­mistes diraient simplement : « Il est plus difficile de survivre par vos propres moyens! »

Les Optimistes du monde entier ont pris l’initiative, au sein de nombreuses collectivités, d’être les gardiens des autres. Ils répondent avec efficacité aux innombrables défis qui continuent d’apparaître au cours de cette pandémie qui a touché directement ou indirectement chacune de nos vies. Nous avons agi, car nous ne savons pas faire autrement. C’est L’ADN Optimiste qui est la technologie la plus forte qui n’ait jamais été créée, entièrement intégrée dans nos disques durs appelés cerveaux. C’est cet ADN Optimiste qui nous rend plus forts, meilleurs et plus gentils. Nous avons compris grâce à la pandémie que nos vies mondiales sont interconnectées et que nos destins sont liés les uns aux autres.

Au sein de l’organisation Optimist International, nous avons fait de notre mieux ces derniers mois pour vous donner les outils, la formation et le soutien qui vous permettront de fonctionner au mieux de vos capacités. Pour vous donner les mises à jour de logiciels qui font de vous de meilleurs Optimistes et même des gens plus gentils C’est ainsi que nous excellons lorsqu’il est question d’inspirer le meilleur chez les jeunes, nos collectivités et en nous-mêmes.

Alors que nous essayons de nous adapter à cette nouvelle normalité de la vie, n’oubliez jamais que pour prospérer ou pour réussir dans nos vies, vous aurez besoin de quelqu’un à vos côtés qui vous soutiendra, vous encouragera et sur lequel vous pouvez vous appuyer! En tant que votre président international, je m’engage envers tous les membres à ce qu’Optimist International vous tende la main avant de trébucher!

Restez connectés! Restez en sécurité! Restez concentrés à iMagine un avenir plus brillant!

                                                                       Adrian Elcock

                                                                       Président Optimist International 2019-2020

Je veux déranger!

Depuis quelques temps, je prends conscience que la majorité des gens ne veulent pas déranger les autres, mais ils ne prennent pas conscience que, sans vouloir déranger, ils dérangent. Je me suis posé la question pourquoi les gens ne veulent pas déranger, souvent ils pensent qu’ils n’en valent pas la peine, d’autres fois parce qu’ils croient que les amis ont d’autres choses plus importantes à faire.

La société dans laquelle nous vivons actuellement est composée d’un ensemble de gens qui sont dérangés, qui dérangent. Les gens qui sont dérangés sont des personnes qui subissent des dérangements sans dire un mot, qui vivent avec des situations qui leur sont inacceptables mais qui ne revendiquent pas par peur de déranger.  Les autres, les gens qui dérangent, sont souvent des personnes qui défendent ces gens qui subissent des dérangements. Ces dérangeurs dont je suis sont des personnes qui prennent les situations d’abus de situation à leur défense.

Mais moi je réalise, qu’étant une personne avec un certain sens du leadership, souvent les niaiseries, les incompréhensions, les stupidités me dérangent, et par le fait-même, quand j’émets des commentaires, je dérange.  Alors, étant une personne entière et unique, je dois composer avec cette attitude qui m’a bien servi jusqu’à maintenant.  Je dérange et je veux déranger.

Je crois que si plusieurs personnes étaient comme moi, la société ne s’en porterait que mieux. Pourquoi je pense cela, parce que je réalise que trop de personnes se font manger la laine sur le dos. Et cela m’exaspère, voilà une des raisons pourquoi je me fais le porte-parole de ces gens-là. L’ardent défenseur de la veuve et l’orphelin.  Quand j’analyse ma vie, je réalise que tous les organismes ou postes que j’ai occupés m’ont permis de déranger, d’apporter des changements qui se sont avérés nécessaires et importants pour régler des situations qui étaient pour moi inacceptables.

Pour certaines personnes qui n’aiment pas les gens qui dérangent, c’est presque toujours pour les mêmes raisons.  Ces gens sont souvent des abuseurs, des narcissiques qui font avancer leur cause ou leur personne au détriment des autres. Ces gens-là aussi dérangent à leur façon mais je crois qu’en réfléchissant tous, nous connaissons tous ce genre de personne.

Si vous voulez prendre le temps de regarder le monde autour de vous et que vous êtes témoin d’un abus envers une personne qui ne veut pas déranger, je vous invite à prendre la défense de cette personne en devenant un dérangeur. Mes expériences passées m’ont démontré que ma réflexion de cette semaine est juste et équitable.  Je ne pense pas détenir la vérité dans tout, mais il m’est forcé de comprendre que ces situations me font réagir au plus haut point. Voilà pourquoi je pense de cette façon. Je serais toujours là pour défendre des gens vulnérables car, dans le monde actuel, nous aurons toujours besoin de défenseurs de la veuve et de l’orphelin.

Je vous invite durant cette semaine à réfléchir sur des situations au cours desquelles vous avez eu connaissance des gens qui ne veulent pas déranger et qui se font déranger par d’autres. Moi mon camp est choisi, je dérange et je veux déranger.

Suis-je efficace?

Notre réalité quotidienne est très complexe. Pour être efficace, nous avons donc besoin d’un système simple, qui nous facilite la vie et qui nous permet d’atteindre nos objectifs. L’efficacité est une habitude qui nous permet de choisir ce que nous avons à faire pour atteindre l’objectif de la journée. Maintenant, imaginez un système qui vous donne la possibilité de profiter au maximum de vos journées, vos semaines, vos mois, voire vos années. Ce que je vous propose ne vient pas de moi, j’ai lu dans le livre d’Alessandra Pintore, « Conquérir : l’efficacité, les étapes, les moyens et les stratégies qui vous permettront de conquérir l’efficacité ».

Chaque étape est un échelon qui doit être franchi pour pouvoir atteindre le prochain palier. C’est ainsi que nous progressons vers l’efficacité (logique). 1- l’introspection. L’introspection est la capacité de prendre du recul pour examiner nos pensées, nos intérêts et nos motivations. On peut interpréter cela comme la réflexion; à cette étape vous apprenez à avoir une meilleure gestion de vous-même. 2- L’Optimisation.  L’efficacité est le moteur principal de toutes nos actions. Elle influence ce que nous faisons et la manière dont nous gérons notre temps. L’étape de l’optimisation est de prendre conscience de notre temps et d’éliminer les grugeurs de temps, les mauvaises habitudes. Et de prendre conscience de nos périodes durant la journée au cours desquelles nous sommes les plus productifs. 3- Priorisation.  L’efficacité, c’est aussi connaître ses priorités. En sélectionnant les choses urgentes, nous perdons moins de temps sur des choses qui n’ont pas d’importance et qui nous retardent dans notre efficacité. 4- Planification. La planification, c’est concevoir un plan d’action pour atteindre un objectif avec efficacité. Il faut établir des priorités et prévoir le temps nécessaire et les ressources utiles pour chaque activité en préparant un échéancier pour accomplir l’objectif. 5- Organisation. S’organiser, c’est créer une structure et mettre en place des conditions favorables à l’exécution de la tâche. Vous ne pouvez pas être organisé si vous n’avez pas d’objectif. 6- Délégation. La délégation nous offre l’opportunité d’amener notre efficacité au niveau supérieur en utilisant des ressources humaines. La délégation est l’action de solliciter des ressources en leur donnant des responsabilités dans l’objectif ultime d’atteindre l’efficacité ultime.

Il est bien évident que dans ce genre de billet, il m’est impossible de vous donner une formation complète sur le sujet de l’efficacité.  Mais je vous résume les échelons que vous aurez à monter pour être en mesure de mieux répondre à la question.  Souvent, les gens qui doivent être efficaces appliquent tous ces échelons, mais sans rendre compte, sans constater qu’ils les gravitent tous.  Une chose est certaine, l’efficacité est une reconnaissance de rendement et de productivité à la hauteur de nos attentes.

La définition d’efficacité est la capacité de produire le maximum de résultats avec le minimum d’effort, de dépense.  Je crois que sincèrement aujourd’hui tout est une question d’efficacité. Que ce soit au travail, dans nos vies personnelles, nous sommes toujours confrontés à donner le maximum de nous-mêmes. Nos supérieurs nous en demandent de plus en plus. Alors mettez ces étapes en place et vous allez devenir de plus en plus efficace.

La curiosité

Cette semaine je veux vous entretenir sur la curiosité. Depuis que j’existe j’ai toujours été un être curieux de nature. Il existe plusieurs sortes de curiosité : il y a ce que je pourrais nommer une saine curiosité, l’apprentissage de quelque chose qui nous fait grandir, nous élève d’une manière ou d’une autre mais, aussi une curiosité déplacée, courir après tous les ragots du village, du voisinage, etc. Disons en version moderne avec le voyeurisme des télés réalités, voire une curiosité maladive !

Dans le livre de Franck Nicolas qui s’intitule Confiance Illimitée, l’auteur nous recommande d’être des gens curieux dans un des chapitres. Il nous explique ceci : Comment cultiver la curiosité? En vous rappelant combien vos expériences ont pu être positives et agréables dans le passé, lorsque vous avez exploré la curiosité autour de vous et que vous avez fait toutes sortes de découvertes passionnantes. La curiosité est une habitude. Plus vous êtes curieux, plus vous le devenez. Et au fil du temps cela devient spontané.
La curiosité est une manière très efficace de dédramatiser vos peurs et vos blocages. Elle nous apporte aussi souvent à sortir de notre zone de confort. Des fois on ne sait pas pourquoi, quelque chose nous interpelle, le sentiment de curiosité est tellement fort que nous oublions nos peurs. Un coup que nous avons laissé notre curiosité passer au- devant de la peur, nous ressentons une grande fierté.

Je voudrais vous entretenir sur la curiosité intellectuelle qui m’habite depuis longtemps par la lecture sur le développement personnel.

L’auteur bien sûr a son style particulier, style qui est un monde à lui tout seul. Mais en dehors de l’auteur, il y a le sujet traité, et ce sujet est un monde à découvrir.
Une femme enceinte de son premier enfant va chercher des lectures sur le déroulement de la grossesse et sur l’accouchement, sur l’éducation des enfants. Lorsque nous souhaitons innover en matière culinaire, nous n’hésitons pas à partir à la recherche de nouvelles recettes, quitte à acheter un autre livre de cuisine, même si nous en avons déjà une quantité importante. Moi, c’est dans les livres de croissance que je comble ma curiosité. Il ne m’est jamais arrivé de lire un livre sans en retirer des choses positives que je mets en pratique tous les jours. Si je suis l’homme que je suis aujourd’hui, je me dois de reconnaitre que ma curiosité m’a toujours amené à me dépasser et à chercher des moyens pour devenir une meilleure personne. La curiosité est une soif qui doit être satisfaite, sans se soucier du prix.

Cette semaine je veux vous entretenir sur la curiosité. Depuis que j’existe j’ai toujours été un être curieux de nature. Il existe plusieurs sortes de curiosité : il y a ce que je pourrais nommer une saine curiosité, l’apprentissage de quelque chose qui nous fait grandir, nous élève d’une manière ou d’une autre mais, aussi une curiosité déplacée, courir après tous les ragots du village, du voisinage,etc. Disons en version moderne avec le voyeurisme des télés réalités, voire une curiosité maladive !

Dans le livre de Franck Nicolas qui s’intitule Confiance Illimitée, l’auteur nous recommande d’être des gens curieux dans un des chapitres. Il nous explique ceci : Comment cultiver la curiosité? En vous rappelant combien vos expériences ont pu être positives et agréables dans le passé, lorsque vous avez exploré la curiosité autour de vous et que vous avez fait toutes sortes de découvertes passionnantes. La curiosité est une habitude. Plus vous êtes curieux, plus vous le devenez. Et au fil du temps cela devient spontané.

La curiosité est une manière très efficace de dédramatiser vos peurs et vos blocages. Elle nous apporte aussi souvent à sortir de notre zone de confort.  Des fois on ne sait pas pourquoi, quelque chose nous interpelle, le sentiment de curiosité est tellement fort que nous oublions nos peurs. Un coup que nous avons laissé notre curiosité passer au- devant de la peur, nous ressentons une grande fierté.

Je voudrais vous entretenir sur la curiosité intellectuelle qui m’habite depuis longtemps par la lecture sur le développement personnel. 

L’auteur bien sûr a son style particulier, style qui est un monde à lui tout seul. Mais en dehors de l’auteur, il y a le sujet traité, et ce sujet est un monde à découvrir.

Une femme enceinte de son premier enfant va chercher des lectures sur le déroulement de la grossesse et sur l’accouchement, sur l’éducation des enfants. Lorsque nous souhaitons innover en matière culinaire, nous n’hésitons pas à partir à la recherche de nouvelles recettes, quitte à acheter un autre livre de cuisine, même si nous en avons déjà une quantité importante. Moi, c’est dans les livres de croissance que je comble ma curiosité. Il ne m’est jamais arrivé de lire un livre sans en retirer des choses positives que je mets en pratique tous les jours. Si je suis l’homme que je suis aujourd’hui, je me dois de reconnaitre que ma curiosité m’a toujours amené à me dépasser et à chercher des moyens pour devenir une meilleure personne.

La curiosité est une soif qui doit être satisfaite, sans se soucier du prix.

Suis-je proactif ou réactif?

Cette question est très importante et nous force à nous la poser. Sommes-nous proactifs ou réactifs? Je me suis souvent demandé cette question, mais il y a longtemps j’étais un être très réactif.

Être réactif c’est réagir à des situations qui proviennent de notre environnement en pilote automatique. C’est réagir aux situations dans l’espoir de ne pas être trop affecté ou changé. C’est nous sentir à la merci des événements de notre vie et être dominé par eux.  Lorsque cela se produit, nous sommes généralement peu efficaces. Nous sommes dominés par nos émotions et , par conséquent, nous risquons de perdre le contrôle de nous-mêmes.

Être proactif, c’est d’avoir le pouvoir, la liberté et l’habileté de choisir nos propres actions et ce en fonction de nos valeurs. C’est aussi savoir que les circonstances ne nous contrôlent pas. Nous considérons que nous pouvons utiliser les événements et les situations pour créer ce que nous voulons. Je vous invite à développer une approche proactive, ce qui permet aux utilisateurs d’évaluer ou d’anticiper les événements et de travailler un résultat plus optimiste et très collaborateur auprès des autres personnes.  Notre façon de traiter la situation démontrera à nos partenaires notre nouvelle approche de proactivité.

De mon côté depuis quelques années, je travaille énormément fort pour devenir une personne plus proactive que réactive. Quand des situations se présentent à moi, j’essaie de garder le contrôle sur l’évènement, de prendre le temps d’analyser la situation et si je sens monter en moi une réaction, je m’efforce de reprendre la gestion de mon émotion.  Être proactif, c’est d’accepter la responsabilité de l’individu que je suis, de ce que j’ai en moi et de ce que je fais , au lieu de blâmer les gens ou les circonstances pour ce qui m’arrive.

Souvent je me parle, et je me dis : « Tu es une personne proactive ». Je retourne en arrière dans ma mémoire et j’analyse comment l’ancien Denis avait réagi à une situation et comment le nouveau Denis aurait dû réagir. Faites l’exercice personnellement, je suis certain que vous allez découvrir des expériences de vie que vous avez vécues oů vous avez perdu le contrôle de la situation et vous avez réagi au lieu d’être proactif.  Personnellement, même si je pense être une personne très proactive, hier j’ai failli, ce qui confirme que je suis humain.  Après la situation, lorsque que j’ai pris conscience de ma réaction, j’ai eu assez d’humilité pour m’excuser de mon comportement et de réaliser que je n’avais pas fini mon apprentissage. Rien de mieux que de rechuter quelques fois pour comprendre la différence entre être réactif et proactif.

Alors je vous invite à continuer de travailler, d’apprendre sur le sujet et travailler extrêmement fort pour devenir des gens proactifs, des individus qui sont en contrôle des situations. En terminant je vous invite à la réflexion suivante, tout ce à quoi tu fais face s’efface et tout ce que tu fuis te suit.

Le privilège du temps

Depuis quelques temps je prends conscience du temps. Cette semaine j’ai décidé de vous entretenir sur le temps, le temps qui passe, le temps que nous travaillons, le temps pour le couple, etc. Mon objectif est de vous arrêter à prendre du temps pour vous et aussi à analyser tout le temps que vous prenez pour les autres. Au cours des dernières semaines, j’ai réalisé que le temps passe très vite, que les jours, les semaines, les mois et les années s’accumulent sans que l’on prenne le temps d’être conscient que les années avancent.

Récemment, en imaginant arrêter le temps en me sélectionnant des périodes pour moi me fait prendre conscience que j’ai beaucoup de temps que je perds pour les autres et non pour moi. Je vous ai déjà parlé des 86400 secondes que nous avons à tous les jours. Je ne vous ferai pas l’histoire de cette réflexion. La tournure que je veux donner à mon billet cette semaine, est de prendre le temps d’apprécier ces moments pour vous comme des privilèges que vous vous octroyez. La définition du mot privilège dans le dictionnaire français nous parle d’avantage exclusif, droit particulier, accordé à quelqu’un ou à une certaine catégorie de population.

Pour moi, le mot privilège se résume beaucoup à un bon souper avec des amis où nous échangeons ensemble, où l’on quitte le restaurant avec la satisfaction d’avoir vécu un moment privilégié.  Un autre grand privilège est les discussions que nous avons avec nos enfants, le temps que nous passons avec eux est un temps qui ne reviendra jamais. Mes expériences passées me démontrent qu’une discussion avec notre enfant peut nous sembler banale mais, bien des années plus tard, il vous rappellera ce moment d’échange comme un moment marquant pour lui ou pour elle dans sa vie. Lorsque nous sommes grand-parent, tous les moments avec nos petits-enfants sont des moments de privilèges exceptionnels.

Réfléchissez, faites un arrêt et rappelez-vous des moments où vous avez senti vivre un moment privilégié avec vos parents, grands-parents, enfants, petits-enfants, amis etc. Je vous invite à saisir ces moments que vous vous choisissez pour vivre des instants de privilèges avec des gens que vous appréciez. Pour vivre ces moments, il est bien évident que vous allez changer votre planification de votre journée, mais prenez le temps de déguster ces moments de privilèges et le reste attendra.

J’aurais tellement d’exemples à vous donner mais pour moi, faire un arrêt dans un café pour déguster et lire, ce 30 ou 60 minutes est du temps pour moi.  Prendre le temps de m’asseoir avec mes petits-enfants sur le bord de la piscine, les regarder se tremper les pieds et de les écouter me raconter leurs journées, quel moment de bonheur.  Avoir eu la chance de travailler avec mon beau-père, puisque mon père est décédé alors que j’avais 13 ans. M. Galarneau a été pour moi un modèle depuis qu’il est parti, ces moments de travail et de discussion me manquent énormément. Mais la vie est bien faite. Aujourd’hui c’est moi qui laisserai à mes descendants des images de moment de privilèges qui, je l’espère, se rappelleront. 

Comme je ferais mieux qu’eux!

Nous sommes dans une drôle de période; je remarque que les gens sont critiqueux, de tout et de rien. Nous, les québécois, avons la critique facile; aussitôt que quelque chose nous dérange, nous sautons aux barricades. Il faut du caractère pour prendre des décisions, qu’elles soient favorables à des gens ou défavorables à des gens.  Je trouve que nous sommes des gens qui chialent sur tous les changements que notre société apporte.  Sans parler d’un sujet en particulier, je demande de réfléchir à une situation que vous avez vécue récemment et posez-vous la question : Est-ce que je ferais mieux qu’eux ?

SI votre réponse est peut-être, alors rassoyez-vous et laissez la vague passer. Si votre réponse est oui, alors levez-vous et prenez action. Défendez votre point de vue, allez à la recherche d’informations.  À l’heure des médias sociaux, il est plus facile de faire de la désinformation et de générer plus d’opposition.  Prenons la situation de la COVID-19, nos gouvernements ont pris des mesures qui ont dérangé les gens, ont aidé des gens dans le besoin, ont soutenu des entreprises et des organismes communautaires pour les aider à passer à travers cette pandémie.  Quelle ne fut pas ma surprise d’entendre les oppositions critiquer le travail du gouvernement. Ils méritent bien leur titre d’opposants.

J’ai aussi entendu que des gens avaient profité des largesses du gouvernement pour se remplir les poches de façon illégale. J’aurais aimé entendre ces gens soutenir les mesures en place, j’aurais aimé aussi voir les oppositions s’asseoir à la table et émettre des suggestions pour aider nos compatriotes aux prises avec cette terrible maladie.

Maintenant revenons à la question, comme je ferais mieux qu’eux. Ma mère m’a toujours appris que le gazon est toujours plus vert chez le voisin.  Mon grand-père maternel me disait quand tu auras passé une semaine dans les souliers de ton patron, tu seras mieux en mesure de comprendre les décisions qu’il a prises.  Mais entre ces deux personnes que j’aime profondément, une chose est certaine, on peut tous penser que l’on peut faire mieux. Comme expliqué plus haut, prenez leur place, prenez des décisions, assumez les critiques, faites face à la controverse.  Je suis de ceux qui a été un élu, j’ai voulu changer des choses, j’ai fait énormément face à la critique et je me suis tenu debout. J’ai une devise qui est : Vaut mieux perdre la face debout que d’être couché à terre et demandé d’arrêter de frapper.

La majorité des gens qui critiquent ne prennent jamais des postes de décision, car ils ne sont pas capables d’être face à la controverse.  Nous sommes à l’époque des polémistes des médias sociaux, qui critiquent tout le temps, que nous ne voyons jamais en avant de la parade afin de proposer des changements ou de se présenter en politique. Rien de plus facile que de se cacher derrière un écran et d’écrire ce que l’on veut.  Certains pourront dire après la lecture de ce texte, ce n’est pas ça que tu fais. Je leur répondrais que moi je me suis mis en action, j’ai défendu mes idées, mes opinions et je suis encore capable de les défendre et surtout de signer ce que je pense, ce que d’autres ont de la difficulté à faire. Bonne chance aux anonymes.

Comment ça va?

Cette semaine je veux que nous réfléchissions à une question qui nous semble banale, à laquelle nous répondons par automatisme. Très bien. Depuis quelques temps je prends conscience que cette question que presque tout le monde nous pose, nécessite une réponse automatique.  Mais je vous invite à dire la vérité car, des fois il est bien évident que ça ne va pas du tout. Ayant déjà fait cette expérience auprès de certaines personnes, il est impressionnant de voir la réceptivité des gens lorsque vous leur répondez que ça ne va pas du tout. Faites le test et soyez attentifs à la réponse des gens, au début vous remarquerez que ces personnes semblent déstabilisées, elles ne s’attendaient pas à ce type de réponse. Aussi, chez certains vous remarquerez une certaine compassion, une ouverture de soutien et de prise de conscience de vous écouter pour connaître votre situation.

Mais commençons par réfléchir sur l’importance de dire la vérité. Je crois qu’il est important de dire la vérité mais, est-ce que l’on doit dire la vérité à tout le monde?  Au niveau de cette question, je vous informe que moi, non je ne dis pas toujours la vérité à tout le monde concernant mon état d’âme. Je me réserve le droit de choisir à qui je dis ce que je ressens en ce moment.  Mais ma réponse ne doit pas vouloir obtenir de la personne qui me pose la question de la pitié. Ma réponse doit dire à mon interlocuteur comment je me sens dans le moment présent en espérant qu’il a la force d’écouter mes doléances.

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Robert Tessier, fondateur des clés de la sérénité

J’ai suivi les cours des clés de la sérénité de Robert Tessier qui est un mentor pour moi, et M. Tessier nous disait à cette question de répondre «Merveilleusement bien». Pourquoi répondre cela quand dans notre tête ça ne vas pas du tout?  Il nous éduquait qu’en disant cette phrase cela nous mettait dans un état de positivisme et d’action.  De par cette attitude de réponse, nous démontrons à nos interlocuteurs un sourire dans la voix car, essayez de dire « merveilleusement bien » avec un air de déprime ça ne fonctionne pas du tout.  M. Tessier nous faisait prendre conscience que la réponse que nous donnons à cette question détermine la suite des discussions que nous aurons avec notre interlocuteur. Ayant déjà pratiqué cette réponse plusieurs fois je dois vous confirmer que M. Tessier a raison. Au moment de donner cette réponse votre subconscient met votre cerveau dans un état d’action positive,  tasse de côté les choses qui vous tracassaient ou qui faisaient que pour vous en ce moment cela ne semblait pas aller du tout.

Cette attitude du « merveilleusement bien » est pour moi signe de réussite, de contrôle de l’état dans lequel je me trouve actuellement. Portons une attention toute particulière aux réponses des gens que nous rencontrons et auxquels nous posons cette question. Réfléchissons à leur réponse et regardons-les dans les yeux pour voir quel genre d’attitude ils désirent recevoir par nous.  Et changeons ce monde avec une réponse différente que « très bien » ou « ça va » par « merveilleusement bien ». Faites le test et donnez-moi des nouvelles.

Avoir confiance dans la vie!

On entend souvent dire : « Aie confiance dans la Vie », « Fais confiance au destin! » La confiance est une attitude indispensable pour vivre. Sans la confiance, nous n’avancerions pas d’un mètre. La vie comporte des risques, mais c’est la confiance qui nous fait avancer.

La confiance est une réalité complexe. Elle suppose certaines attitudes comme l’abandon, l’espoir, l’optimisme et le lâcher-prise. Nous sommes entièrement responsables de nos actes. Nous ne pouvons rejeter la responsabilité sur autrui ou sur autre chose.  Nous devons assumer nos propres choix.  Faire confiance en la vie, c’est créer sa propre existence. Le succès dépend alors du degré de confiance que nous y investissons.

Ces deux premiers paragraphes sont des éléments d’une lecture de Jean-Paul Simard qu’il a écrit en 2015. Pour moi, la confiance est une question d’attitude. Plusieurs personnes sont impressionnées du sentiment de confiance en moi qui se dégage.  Souvent, je dis aux gens que je croyais que c’était inné pour moi, que j’étais né avec cette attitude-là.  Mais non, il a fallu que je travaille très fort sur moi pour mettre cette attitude à l’avant.

J’ai toujours cru que rien n’arrive pour rien dans la vie ; je crois sincèrement que le chemin que nous traçons est l’héritage d’un abandon face au défi que la vie nous apporte. Quand j’ai compris qu’il fallait que je fasse confiance à la vie et que si un événement arrivait dans ma vie, c’était parce qu’il devait arriver et qu’un être suprême avait jugé que j’étais capable d’affronter cet événement.

Depuis plusieurs années que j’ai développé une confiance en moi grâce à tous les événements que j’ai dû affronter.  Je vous invite à réfléchir sur votre vie et à regarder si vous n’auriez pas fait les choses différemment.  Quand une personne prend le temps de regarder son passé, cela la force à se poser les bonnes questions, aurais-je pu réagir différemment face à cet événement. Se poser la question, c’est y répondre, il m’est rarement arrivé de regarder en arrière,  de penser que j’ai fait toujours la bonne chose.

Développer la confiance personnelle nécessite donc de travailler également sur l’acceptation en soi. Cela permet de ne reconnaître non seulement ses qualités mais aussi ses défauts et ses imperfections. Les gens sont ainsi faits et il est important de regarder cette réalité en face sans essayer de la cacher. Parfois, on peut même travailler ses défauts pour les transformer en qualités.

Une fois ce premier pas relevé, les gens peuvent gagner en terme de confiance et d’estime de soi. L’admiration de soi-même permet également de développer cette haute image de soi.

N’oubliez pas que la confiance en soi occupe une grande place dans de nombreuses réussites. Prenons l’exemple d’un entretien d’embauche. On donne facilement le meilleur de soi-même lorsqu’on parvient à se projeter dans l’emploi visé et avoir foi en l’obtention du poste. La confiance en soi et l’assurance de bien se connaître sont les deux attitudes qui poussent une personne à la réussite.

Maintenant que vous avez lu tout ça, répondez à la question, ai-je assez confiance en moi pour avoir confiance en la vie.