80-20

80-20 certains d’entre vous savez d’où viennent ces chiffres. Effectivement ce sont les chiffres de la loi de Pareto. D’où vient cette loi? Elle a été créée par Vilfredo Pareto, un ingénieur italien, sociologue, économiste, politologue et philosophe. Il a introduit le concept d’efficacité Pareto et a aidé à développer le domaine de la microéconomie. Il a également été le premier à découvrir que le revenu suit une distribution de Pareto : le principe 80/20. Cet outil met en évidence la loi des 80/20. Autrement dit, agir sur 20% de causes permet de résoudre 80 % des effets.

Voilà en gros les informations de ce principe. Dans toutes les sphères d’activité où j’ai eu la chance de travailler, ce principe continue de me faire prendre conscience qu’il est toujours actuel. Je suis toujours surpris, quand j’analyse des situations, de prendre conscience que ces chiffres sont toujours au goût du jour.  Comment analyser mes situations pour bien comprendre ce principe.  Voici ce que je vous propose. Imaginons au travail, 20% de votre temps investi dans un dossier va rapporter 80% de résultat.  En clientèle, 20% de vos clients vont donner 80% de vos revenus.  Dans l’amitié, de tous vos amis et connaissances, seulement 20% seront de vrais amis. Voilà qui explique l’adage qui dit que des vrais amis, on peut les compter sur les doigts de nos mains.

Tout d’un coup la réalité vous frappe. Vous prenez conscience des choses qui vous ralentissent dans votre travail, dans vos ventes ou dans l’amitié. Vous devez y apporter des changements.  C’est difficile au niveau du travail de choisir les choses qui nous retardent, qui nous font dévier de notre tâche et qui font que, continuellement, nous ne respectons pas nos délais d’échéance.  Au niveau des ventes, combien sont ceux d’entre vous qui avez des noms de clients qui vous demandent beaucoup, sans se terminer par une vente.  Au niveau de l’amitié, je prends toujours le même exemple. Dans nos comptes Facebook, nous avons combien d’amis. Combien de réelles personnes connaissez-vous dans ce gang? Quand je parle de connaître, je veux dire le prénom du conjoint, ses enfants, le lieu ou il/elle travaille. Alors voilà pourquoi je crois que Pareto est un génie.

La loi de Pareto est utile pour identifier sur quelles causes agir en priorité pour améliorer de façon significative la situation. On évitera ainsi de gaspiller de l’énergie sur ce qui a peu d’impact. Je suggère toujours aux gens qui me le demande de prendre une feuille de papier et de se créer 7 colonnes pour les 7 jours et de noter les choses qui nous ont fait dévier de notre route, que ce soit pour le travail, les ventes, les amis. Faites sérieusement cet exercice pendant une semaine. Après l’analyse de vos résultats, vous serez surpris de constater qu’il existe plusieurs choses qui nous distraient de notre objectif. Les raisons sont multiples, mais pour changer il faut en être conscient et aussi il faut réellement vouloir changer, parce que nous les humains aimons être dérangé d’une tâche parce que pour nous cela nous donne de l’importance. En terminant je vous souhaite une excellente analyse, car si vous faites l’exercice, vous allez voir des situations qui vous dévient de votre objectif final. J’aime mieux l’action que la réaction.

Suis-je un gagnant?

J’ai le goût de vous entretenir sur une question qui m’a toujours interpellé, une question que je me suis souvent posée.  Suite à la lecture du livre de Robert Kiyosaki « Père riche, Père pauvre », une phrase à l’intérieur du livre m’est toujours restée en mémoire. « Les perdants arrêtent quand il échouent, les gagnants échouent jusqu’à ce qu’ils réussissent.» Quelle grande vérité ! Après avoir lu cette phrase, je la mets tous les jours en pratique.  Lorsqu’il m’arrive un imprévu, une inquiétude, une expérience (échec), je me dis que la persévérance va me permettre de réussir.

Si Thomas Edison avait arrêté après un premier échec, il n’aurait pas inventé l’ampoule électrique; ça lui a pris 1200 tentatives.  Comment a-t-il trouvé l’énergie et la détermination après chaque tentative pour se motiver à se dire que peut-être cette fois serait la bonne. Aujourd’hui aurions-nous autant de détermination que Edison a eu en 1878 ?  Quand nous regardons les gens aujourd’hui, pensons-nous qu’il serait possible de trouver un Edison parmi nos amis.

Personnellement je vous interpelle sur la phrase de Kiyosaki : dans quel groupe vous trouvez-vous? Si vous êtes dans le premier et êtes heureux, tant mieux pour vous. Moi, je me trouve dans le deuxième. J’ai longtemps été dans le premier, et pour moi, je n’étais pas très heureux. Quand un jour, j’ai décidé de changer de camp, j’ai compris bien des choses. Premièrement quand je veux réussir quelque chose et que je ne réussis pas du premier coup, je recommence en ne répétant pas la même erreur qui a fait que la première tentative n’a pas marché. J’essaie quelque chose de nouveau et j’espère que cette fois sera la bonne. Mais le bonheur et la joie que je ressens quand je réussis me comblent et aujourd’hui je peux vous garantir que je sais c’est quoi d’être un gagnant.

Mes amis proches vous diront que j’ai toujours été un gagnant, ce n’est pas vrai; j’ai perdu souvent et quand je perdais, je travaillais plus fort pour réussir. Ma détermination, je la dois en grande partie à tous mes livres de croissance personnelle que je lis et que j’essaie de mettre en pratique à tous les jours. La satisfaction que tu ressentiras quand tu gagneras sera aussi intense que le travail que tu y auras mis. C’est terminé les gagnants qui ont tout cuit dans le bec.

Je sollicite votre réflexion. Cette semaine, prenez du temps pour vous poser cette question. Dans quel groupe suis-je ? Ensuite demandez-vous si vous êtes heureux? Si, après ces deux questions auxquelles vous avez répondu « premier groupe et pas heureux », je vous invite à relire toutes mes infolettres.  ET ne me le dites pas, car je vais penser que cela ne sert à rien de vous écrire. Si vous avez répondu « deuxième groupe et heureux », alors, continuez d’avancer dans la vie en étant un gagnant ou une gagnante. Ça ne veut pas dire que tout sera facile, non ça veut juste dire que vous avez dans votre ADN le caractère, la détermination et la persévérance d’un gagnant ou d’une gagnante. C’est le genre de monde que j’aime rencontrer et qui me challenge à me dépasser. Je vous souhaite de rencontrer ce genre de monde.

Je me choisis…

J’ai toujours aimé écouter les bulletins de nouvelles, mais ces temps-ci, je vous dirais que je suis tanné pour ne pas dire écœuré des nouvelles négatives qui n’ont que pour objectif de nous mettre en rogne contre le système qui prend soin des personnes âgées. Notre premier ministre sollicite l’aide de toute la population pour aller donner du temps auprès de nos ainées ; un geste de solidarité et de reconnaissance pour ce qu’ils ont fait pour nous. Au lieu de travailler à cela, les médias nous montrent des images qui nous font lever le cœur, nous informent que près de 2000 préposées ou infirmières qui œuvrent dans ces centres sont atteints du virus.  Quand on dit : on ne rame pas dans la même direction, en voici une preuve flagrante. C’est probablement pour cela que je ne travaille pas dans ce genre de médias. C’est mon épouse qui m’a beaucoup fait prendre conscience que ces bulletins font le travail ; j’ai été surpris d’entendre que les gens qui avaient écouté les nouvelles devenaient les vecteurs de ces mauvaises nouvelles.

Alors je me choisis, ce qui veut dire que je sélectionne les choses que je veux écouter, les bonnes nouvelles que je veux diffuser. Je laisse entrer dans mon subconscient des choses qui ont un effet positif sur mon futur et ma vie. Trop de gens se laissent guider par ces informations qui n’ont que pour effet de nous pourrir notre environnement psychologique.  Je vous invite à faire comme moi, choisissez-vous, choisissez ce que vous aimeriez qui entre dans votre vie, choisissez les gens qui ont une incidence positive et qui feront que vous allez grandir comme personne.

Souvent, dans nos vies, nous somme placés devant des choix à faire, un peu comme une route où on arrive à une fourche et on se demande à droite ou à gauche. J’aime beaucoup ces dilemmes car cela m’oblige à me poser des questions. Où dois-je aller? Quand vais-je y arriver? Est-ce que à droite je me rallonge ou je raccourcis mon trajet? Pour le savoir des fois, il faut aller voir.  J’invite tout le monde à vous poser certaines questions qui vous aideront à vous choisir. Qu’est-ce qui me rend le plus heureux dans la vie? Est-ce que je sais ce que je veux pour moi, mes proches? Et la dernière et non la moindre, Est-ce que j’aime vraiment ce que je fais actuellement, la carrière, le métier, le sport, l’entreprise ou le mode de vie que j’ai choisi?

Et oui parce que tu l’a choisi! Quand on vous pose la question  «Est-ce que tu fais ce que tu veux dans ta vie? » La réponse que la majorité des personnes donnent est, bien sûr, que personne ne me fait faire des choses que je ne veux pas faire.  Sérieux, demain en vous regardant dans le miroir, soyez honnête et posez-lui la question et regardez-vous dans les yeux et répondez franchement. Si vous faites l’exercice en étant le plus franc envers vous, vous allez être surpris que vous ne vous choisissez pas souvent. Alors il faut se mettre en action et je me choisis!

Après…

On dit que toute bonne chose a une fin, c’est pareil pour les moins bonnes.  Alors disons toute mauvaise chose a une fin. Et la fin approche, je le sens de plus en plus.  Nous avons besoin de positivisme, de bonnes nouvelles, de belles annonces qui nous feront croire que la fin approche de cette expérience de vie que nous avons vécue.

Pour moi depuis deux semaines environ, je suis en mode après…, cela ne veut pas dire que je baisse la garde, non je suis tout aussi attentif à tout, je continue de garder mes distances. Mais j’ai un besoin criant de voir la lumière au bout du tunnel. Et j’ai décidé que si j’attends après les autres pour qu’ils mettent la switch à on, je risque d’attendre longtemps. Alors j’ai pris la décision de me mettre en action.

Premier geste important pour moi, je vais donner priorité à un rêve que j’ai depuis quelques années de faire des conférences.  Lors de mon année de gouverneur optimiste, j’avais écrit une conférence que je donnais aux jeunes octogones (mouvement optimiste pour les 12 à 17 ans) qui s’intitulait Ai-je le droit de rêver? Cette conférence durait environ 30 minutes, je travaille actuellement pour l’augmenter à environ 1h à 1h30.  Depuis janvier dernier, j’ai créé un blogue motivaction.coach, une plateforme pour faire connaître mes articles, je viens de la réactiver. 

Ces deux actions sont le début de plus grandes.  Je crois que tous en dedans de nous avons des rêves à réaliser. Les raisons pour lesquelles nous ne les mettons pas en action sont nombreuses, et ont surement tous leur raison d’être. Mais je veux que vous preniez conscience que depuis quelques semaines vous avez été limité dans vos actions.  Il ne faut pas que nous agissions comme un animal qui demande la porte depuis 1 heure et quand vous l’ouvrez il part comme une balle et court partout sans savoir pourquoi il court. Sachez c’est ce qui risque de nous arriver, lorsque le départ sera donné, nous avons été tellement privés de voir des gens qu’on aime que là, nous allons vouloir tous les voir et tous en même temps.  Il va arriver un entonnoir normal qui s’appelle le temps.

Je vous invite donc à commencer à préparer l’après… Si vous avez besoin d’aide prenez un crayon et un cahier marqué jour 1 et écrivez ce que vous aimeriez faire lorsque l’après arrivera, et faites de même pour les jours suivants.  Vous allez remarquer que les premiers jours seront destinés à ce qui prend le plus de place dans votre cœur.  Et ainsi de suite. Du côté personnel, j’espère que cette période de réclusion vous aura été bénéfique.  Prendre le temps de réfléchir à ce que l’on fera quand cela nous sera permis. C’est pour moi la même chose quand je rencontre des gens qui me disent quand je serai riche je ferai telle ou telle chose. Quand je serai à la retraite, je vais voyager. Nous connaissons tous des personnes qui n’ont jamais pu réaliser leurs objectifs. Seriez-vous comme eux? Feriez-vous partie des histoires que l’on racontera de gens qui ont trop attendu?  Alors mettez-vous en action et préparez-vous à l’après….

Hier n’existe plus

Lors d’une de mes lectures qui porte le titre Les sept secrets du succès de Richard Webster.  Ce livre est construit comme un roman, qui raconte l’histoire d’un homme qui a été floué dans sa vie personnelle et professionnelle et qui lors d’un moment de faiblesse fait la raconte d’un homme qui va lui apprendre à voir la vie d’une façon plus optimiste.

À la fin du premier chapitre les trois mots sont écrits hier n’existe plus. Quelle révélation quand nous prenons le temps de prendre conscience de cette grande vérité.  De grand philosophe, nous ont appris que le passé est garant de l’avenir, une autre grande vérité. Prenons le temps de bien réfléchir à ces deux phrases qui pour moi sont importante. 

Nous prenons un temps fou à essayer de changer ce qui s’est passée hier.  Hier peut dire les 24 dernières heures, les dernières semaines, mois, année etc.. Mais prenons conscience que l’on ne peut rien changer d’hier car hier n’existe plus.  Aujourd’hui et demain nous appartient, nous devons prendre acte de la journée d’aujourd’hui et des jours futurs qui s’en viennent.  Comme la deuxième phrase, nous amène à réfléchir que le passé est garant de l’avenir.  Notre passé ou hier ont fait de nous ce que nous sommes.  Souvent notre passé, nous ont donné des expériences de vie, qui nous ont formé un ADN qui est plus négatif que positif. Le passé est garant de l’avenir.

Prenons le temps de changer cette ADN négatif en se disant constamment que hier n’existe plus.  Que l’on ne peut rien faire pour changer ce qui a été fait hier.  Peu importe l’émotion le moment, les contextes pour lesquelles ces décisions fut prises, nous ne pouvons revenir en arrière. Mais à cause d’hier nous devons vivre avec et apprendre de ces expériences comment nous voulons regarder aujourd’hui et les autres jours.

J’aime beaucoup mieux appeler expérience qu’épreuve, pour moi, épreuve est très négative. Le mot expérience peut inclure des choses positives autant que des choses négatives.

Le texte d’aujourd’hui se veut un texte pour regarder le futur et non le passé. Il est vrai que nous ne pouvons rien changer sur les choses d’hier mais il reste à nous de savoir comment nous voulons vivre demain. Souvent l’inconnu de demain nous amène dans une zone d’inconfort qui nous apporte à mettre les brakes sur des nouvelles avenues.

Si aujourd’hui vous avez appris à marcher, c’est parce que vous êtes tombé plus d’une fois et à chaque fois vos parents vous ont relever et vous ont forcer à marcher.  Après avoir appris à marcher vous avez appris à sauter et courir.  Alors je vous invite à sauter ou courir la vie que vous voulez à partir de demain.

Des fois je doute que mes réflexions hebdomadaires vous apportent des choses utiles pour vous mais, sachez que pour moi elles me font du bien. Je veux tenter de changer mon ADN négatif pour sauter dans une nouvelle vie. Le mouvement optimiste nous apprend à réciter un credo dont l’une des strophes d’oublier les erreurs passées et de voir à faire mieux à l’avenir.  Alors appliquons cette strophe.

La transformation!

Quelle période vivons-nous actuellement! Quelqu’un m’aurait dit que je vivrais le confinement durant ma vie.  Je ne l’aurais pas cru. Mais il est bien évident qu’aujourd’hui tout va vite. Le virus se déplace tellement vite qu’il a contaminé le monde en quelques semaines.  Il nous a forcé à transformer nos vies, notre travail, nos rencontres sociales.  Comment arrivons-nous à nous adapter à cette transformation ?  La peur d’attraper ce virus nous fait accepter tout.  Ce matin, je veux que nous prenions conscience que l’être humain peut s’adapter à tout, lorsque la peur est présente.

Sans la peur, nous n’aurions jamais accepté tous ces changements dans nos vies.  En lisant un passage du Dr. Wayne D. Dyers dans son livre « Il faut le croire pour le voir », le premier chapitre parle de la transformation. Il décortique pour ses lecteurs le mot transformation. Dans le milieu du mot, il y a forme, c’est un terme qui décrit votre physique, poids, grandeur. Il est précédé d’un préfixe trans qui signifie « au-delà », « au-dessus » ou encore « par-dessus ». Lorsque que l’on place ce préfixe devant le mot forme on obtient transforme. En ajoutant le mot action qui signifie résultat, on obtient le mot transformation. Selon Dyers, ce mot désigne « aller au-delà de sa forme actuelle ».

Selon moi, quand l’être humain est poussé au-delà de ses limites, il peut démontrer une force de caractère méconnue.  Pourquoi disons-nous que pour l’être humain, il doit atteindre le fond du baril avant de remonter. Certains vous diront il ne peut aller plus creux.  Durant cette période de descente que nous vivons, nous devons apprendre à vivre avec de nouvelles réalités, des peurs, des inquiétudes. Ce dernier mot est, pour moi, le plus important parce que nos inquiétudes apportent souvent de l’anxiété. Ce mal de la décennie touche de plus en plus de gens et de plus en plus jeunes. Je vous demande de faire attention à cela car pour moi certains adultes transforment leurs enfants en leur transmettant leur anxiété d’adulte dans leur petite tête d’enfant.

Nous, les parents, nous sommes les modèles de nos enfants. Dans cette période où on nous demande de nous transformer, comment nous relèverons-nous de cette expérience ? Oui ! Pour moi, cette période de confinement est une expérience que la vie m’envoie.  Si vous êtes comme moi, vous avez une liste de vos rêves. Je n’avais pas sur cette liste la volonté de vivre une quarantaine, maintenant voilà c’est fait, c’est coché.  Ces expériences que la vie met sur notre chemin, on a le devoir de nous apprendre toujours un peu plus sur nous.  On doit trouver de nouvelles façons de nous occuper, de découvrir de nouvelles passions. Mais pour moi, çà nous oblige à nous retrouver en couple ou comme parent. Imaginez tous ces moments privilégiés que vous vivez avec votre conjointe, conjoint ou vos enfants. Je vous recommande de tous les mémoriser et de vous construire une boîte à souvenirs. Car pour moi, actuellement, malgré la technologie de l’ordinateur qui me permet de voir mes enfants et petits-enfants sur l’écran, çà ne comble pas la joie et le bonheur que j’ai de les serrer dans mes bras. Je vis actuellement une petite tristesse qui sera comblée un jour car tout cela va finir et alors ils ne le savent pas mais je suis transformé d’un besoin d’amour et de tendresse à leur égard.

Abandonne? Jamais?

Le monde vit dans une tourmente qui nous affecte tous. Je ne connais pas personne qui ne soit pas touché par ce virus qui frappe le monde actuellement. En cherchant sur quoi je pourrais vous écrire, je suis tombé sur un commentaire d’Alexandre Taillefer « Abandonner n’est pas la nature d’un entrepreneur. Chaque leader à qui je parle d’abandon me répond sans hésiter jamais!  Et si certains avouent qu’ils y ont pensé, tous me disent qu’après réflexion ils ne voient pas comment ils auraient pu abdiquer ».

Voilà un commentaire qui me frappe.  C’est dans la nature de l’entrepreneur de faire face aux expériences que le business leur apporte. Depuis que j’expérimente ce rôle d’entrepreneur, je suis d’avis avec tous ces gens. Je me suis souvent posé la question : nait-on entrepreneur? Je crois que oui, nous naissons tous avec la fibre entrepreneuriale dans nos gènes. Pour certains, elle se développe; d’autres l’éteignent, ne la laisse prendre toute la place.  Pour moi, c’est dans l’entrepreneuriat que je me suis reconnu le plus. J’ai toujours occupé des postes importants, mes supérieurs voyaient en moi un leadership que j’ai souvent mis à contribution pour les autres. 

Un jour, je me suis dit pourquoi pas moi? Rien n’est facile dans le rôle d’entrepreneur, les moments de gloire sont très hauts et les moments d’inquiétude sont très bas.  Certains diront pourquoi accepter de vivre une vie et un stress comme dans être dans le manège des montagnes russes. Mais parce que d’aussi loin que je me rappelle, ce n’est pas le carrousel à la ronde qui me faisait tripper; c’était ce manège qui me faisait vivre toute sorte d’émotions en 2 minutes et demie. Quand il en arrivait un plus gros, un plus vite, j’avais juste le goût d’aller l’essayer.

Posez la question à tous les entrepreneurs que vous connaissez et vous allez être surpris du résultat que vous allez obtenir : jamais ils n’abandonneront.  Certains vous diront qu’ils ont essayé plusieurs types d’entreprise, ils n’ont jamais senti un échec quand une idée ne marchait pas, ils ont plutôt appris de nouvelles connaissances tantôt financières, tantôt de vente. Ces acquisitions de nouvelles aptitudes leur auraient été difficiles s’ils n’avaient pas osé réaliser leurs rêves.

Ces entrepreneurs nous apprennent qu’il ne faut jamais abandonner. Les êtres humains, lorsqu’ils sont confrontés à certaines épreuves, laissent tomber facilement.  Les gens n’aiment point être pris dans une situation où il ne voit aucune issue.  Souvent, je recommande aux gens qui sont devant des choix d’abandon ou de continuer, de prendre du recul et de réfléchir à la situation, de regarder toutes les options qui s’offrent à eux, autres que l’abandon. Certains réfléchissent, d’autres choisissent le chemin facile. À mes yeux, les grands gagnants sont ceux qui prennent la décision de continuer, car suite à ce choix, ils découvrent souvent des forces intérieures qu’ils sous-estimaient. En terminant, je souhaite que cet article, même s’il traite d’entrepreneuriat, puisse s’appliquer dans la vie personnelle de tous.  Alors, j’espère que pour vous lorsque les gens vous demanderont abandonnes-tu, vous répondrez jamais!

L’équation du miracle (Hal Elrod)

Je viens de terminer ce livre, je le recommande à tous ceux qui ont des rêves et qui recherchent des moyens comment les réaliser. C’est un auteur que j’affectionne particulièrement, c’est de lui qui m’a apprise une technique que je mets en pratique chaque matin la technique Life Savers. Du même auteur le Miracle Morning (Tout ce joue avant 8 heures).

Cet auteur à une façon d’écrire qui me touche personnellement. Depuis que je lis ces livres, plusieurs technique suggérer je les mets en pratique. Depuis environ un an, je fais la technique Life Savers. Prenez le temps de lire ces ouvrages.

J’ai appris que si nous voulons grandir intérieurement, il faut nourrir notre esprit et notre âme. Hal Elrod me touche personnellement, ces expériences(épreuves) de vie qu’il a dû traverser on construit l’être qu’il est devenu.

Ne tardez pas à vous procurer ce livre et non je ne reçoit aucun avantage financier mais je crois que pour tous ceux qui ont des rêves et qui se pose la question comment vais-je les réaliser voici un livre de recette. bonne lecture.

La technique Life Savers

Il y a quelques semaines, je vous ai parlé de la technique Life Savers de Hal Elrod, auteur de «Tout se joue avant 8 heures». Hal nous explique une technique pour débuter ses journées dans l’action. Avec une telle routine, nous développons une façon de faire qui organise le départ de la journée. Découvrez les Miracle Morning Life Savers : six exercices simples pour améliorer votre sort et vous changer la vie, à effectuer quotidiennement, chacun développant plusieurs dimensions physique, intellectuelle, émotionnelle et spirituelle de votre existence, afin de devenir la personne qui saura se créer la vie qu’elle souhaite.

Pour débuter, expliquons la définition de Life Savers. Tel qu’expliqués plus haut, les six exercices sont les suivants :

S silence

A affirmation

V visualisation

E exercice

R reading (lecture)

S scribbling (écriture)

Il n’en demeure qu’à vous de voir le temps que vous pourrez attitrer à chacun de ces exercices. Mais une chose est certaine, depuis que je tente de mettre en place cette technique, le réveil est moins brutal.  Le coucher aussi est différent puisqu’avant de me coucher je me demande sur quoi je vais écrire, qu’est-ce que je vais lire, combien de temps sur le tapis roulant, etc.

Ce n’est pas tous les matins que je mets cette technique en pratique. Mais une chose est certaine, mes couchers sont moins pénibles, mes réveils plus encourageants et, en terminant, mes journées plus gratifiantes.  Sans cette technique, vous ne me liriez pas, car c’est le matin très tôt que j’écris mes textes. Souvent mes réflexions démarrent avec des situations vécues dans ma journée.

Voici mon life savers à moi : tous les matins je prend 5 minutes de silence, j’ouvre la télé au poste de radio classique et j’écoute assis dans mon fauteuil en réfléchissant sur un sujet donné (silence). Ensuite je prends la liste de mes rêves et je les lis à haute voix (affirmation). Ensuite je réfléchis sur ma journée, mes attentes, mes désirs (visualisation). Je mets mes vêtements d’exercices et descends au sous-sol faire mon tapis-roulant en écoutant soit des podcasts ou de la musique (exercice). En remontant avant la douche, je m’assois toujours en écoutant de la musique classique et je lis quelques pages d’un livre de développement personnel. J’en ai toujours deux, trois qui trainent sur la table de cuisine (lecture). Et je termine ça par la rédaction d’une réflexion que vous lisez actuellement, ou d’avancer dans mon projet d’écrire un livre ou une conférence (écriture).

Voilà comment moi j’arrive à mettre en pratique cette technique.  Vous comprendrez que je n’ai pas attitré à chacun de ces exercices un temps défini, parce que pour moi il m’est difficile de savoir le temps que j’y attribue.  Mais une chose est certaine, depuis la mise en place de cette technique, je passe de meilleures journées. N’oubliez pas que lorsque vous modifiez votre monde intérieur, à savoir votre vie, votre monde extérieur, c’est-à-dire votre situation, s’améliore simultanément.

Alors donnez-moi des nouvelles de vos Lifes Savers personnels. Mettez-vous en action.

La COVID-19

Il y a quelques semaines, la COVID-19 touchait la Chine. Certains québécois se disaient c’est loin la Chine, c’est vrai ils ont raison. Mais aujourd’hui la Chine est à côté de nous, avec le monde qui voyage de plus en plus, avec la vitesse å laquelle nous nous déplaçons. Il est utopique de penser que les virus ne voyagent pas aussi vite que nous.  Ils ont trouvé le moyen de transport le plus rapide soit l’être humain.

Depuis quelques semaines, notre premier ministre nous invite à la prudence. Il recommande aux personnes les plus âgées de rester chez eux. Selon la vitesse à laquelle le virus frappe, la clientèle qui est la plus à risque de décéder de ce virus est les gens de 70 ans et plus.  Ce message même s’il est fait très clairement, j’ai vraiment l’impression que l’appareil auditif de nos personnes âgées est en panne.

Je n’ai jamais vu autant de personnes âgées courir après la mort. On dirait qu’ils défient le virus. Ils devraient savoir, qu’à leur âge, ils ne courent plus aussi vite, et qu’ils n’ont plus le système immunitaire de leurs vingt ans.  Il est logique de penser que les raisons qui les poussent à sortir est l’ennui. Je trouve que, comme société, nous ne prenons pas assez soin de nos vieux. Je souhaite que la raison pour laquelle ils sortent n’est pas de trouver un moyen qu’on s’occupe d’eux. Car les risques de décès sont trop élevés.

Depuis le début de la crise, je vois des gens insouciants. Ils prennent des risques qui me laissent sans réponse. Pourquoi prennent-ils tant de risques? N’ayant pas trouvé de réponse, j’ai décidé de penser à moi comme un égoïste qui se fout royalement des autres. Je me suis dit si eux ne prennent pas au sérieux les avertissements je ne suis pas obligé de faire comme eux.

Nous les québécois sommes invités à mettre en place des mesures d’isolement volontaire. Voyons ces mesures pour nous permettre de faire une introspection sur notre vie : les réalisations que nous avons atteintes,  les nouveau objectifs que nous aurons déterminés  .  Prenons ce temps pour être à l’affût de nouvelles passions. Soyez à l’écoute de votre moi intérieur et prenez le temps de faire ce que vous n’avez jamais le temps de faire.  Je souhaite que vous preniez cette période avec des yeux positifs, ne pas regarder que le négatif de la situation.

Fermez-vous les yeux, et imaginez le monde dans lequel vous voulez vivre. Imaginez ce qui vous rendrait heureux, imaginez tous ce que vous feriez en étant la personne la plus heureuse sur la terre.  Et lorsque le bonheur aura gagné votre cœur, levez-vous et mettez en action les visions que vous avez eues. Et lorsque tout cela sera terminé,  nous allons avoir des nouvelles personnes qui ont profité de cette période d’exclusion pour redéfinir leur avenir. Et qui se mettront en action, pour réaliser leurs rêves, au détriment de ce virus. Et un jour, ces gens diront dans une conférence, durant la période de la COVID-19, j’ai fait un arrêt et j’ai décidé de réaliser mes rêves. Voici comment transformer cette période en une période positive pour soi. Bonne santé.