
Lorsque nous nous présentons pour une entrevue d’embauche, nous voulons obtenir le poste tant convoité. Des fois nous vendons un candidat qui répond aux attentes des personnes qui passent l’entrevue et qui répond aux attentes de l’entreprise . Nous vendons un personnage qui n’est pas celui que nous sommes, nous voulons tellement ce poste que nous mentons sur le style d’employé que nous sommes. Trop souvent l’être humain qui a obtenu le poste, ne livre pas la performance qu’il a démontrée en entrevue, pourquoi?
En faisant des recherches sur l’être humain, j’ai compris qu’il a deux catégories. Ceux qui réussissent sont actifs; nous les appelons les « activistes. » Les autres, le moyen, ceux qui ne réussissent pas , sont des passifs; nous les appelons les « passivistes. » Dans quelle catégorie vous retrouvez-vous?
Les activistes agissent, réalisent, prennent des initiatives, mènent leur idée et leurs projets à terme. Les activistes sont des gens qui provoquent les changements, qui devancent les attentes et sont des gens d’action . Les passivistes, quant à eux n’agissent pas; ils remettent toujours l’action à plus tard, jusqu’au jour où il est trop tard pour l’exécuter. Les passivistes sont des gens qui attendent la perfection, le moment idéal. Attendre qu’une situation soit parfaite, c’est se condamner à attendre à perpétuité.
On ne mesure pas la réussite de quelqu’un à son aptitude à éliminer les problèmes avant même qu’ils se présentent, mais à les régler au fur et à mesure. La meilleure chose est de les prendre comme elles viennent.
Durant notre vie, nous passerons par ces deux catégories. Des nous serons des activistes et des fois nous serons des passivistes. Quand nous sommes parents, nous voulons que nos enfants soient des activistes, nous les soutenons dans leurs idées, les encourageons à vivre leurs rêves. Mais quand nous prenons du temps de réfléchir à notre vie, nous réalisons que nous sommes des passivistes car nous ne voulons pas perdre nos acquis. Comment faire pour raviver la flamme qui nous allumait jadis.
Allez au travail, prenez crayon et papier et inscrivez cinq actions ou rêves que vous allez réaliser. Et ensuite, tous les matins, vous allez répéter votre liste devant le miroir. Prenez note que votre idée ou votre rêve doit débuter par un verbe d’action. Prenons un exemple, je veux changer ma routine matinale, je veux faire aller en voyage. En je pars en voyage en avril, je lis 30 minutes, je fais 30 minutes d’exercices tous les matins. Si vous le faites tous les matins, au bout de 21 jours, cela va devenir une habitude, et vous deviendrais un activiste.
Quelqu’un m’a dit une fois que les mots les plus tristes de notre langue étaient: si seulement. On attend tous les jours de dire cela; « si seulement je m’étais lancé en affaires en telle année, j’aurais un belle situation maintenant ou bien: « si seulement j’étais passé à l’action…,
Une bonne idée non exploitée est source de non-performance de soi, alors que mise en pratique, elle produit d’énorme satisfaction. L’action nourrit et renforce notre confiance en nous-mêmes; l’inaction par contre alimente nos peurs. Pour vaincre vos peurs, agissez.
La leçon à en tirer, c’est que les hommes d’action n’attendent pas l’inspiration; ils la provoquent. Choisissez, dès aujourd’hui’, la chose que vous aimez le moins faire; puis sans vous laisser aller à y penser, passer à l’action. C’est la façon la plus efficace de régler les choses que l’on aime moins faire.
L’engagement que vous faites en inscrivant vos idées ou vos rêves sur une feuille de papier, c’est déjà un pas dans la bonne direction. Prendre le temps de l’inscrire n’est pas juste sur le papier, c’est dans votre subconscient à partir de ce moment que vous allez vous mettre en action pour réaliser vos idées ou vos rêves. Benjamin Franklin a dit « Ne remettez pas à demain, ce que vous pouvez faire aujourd’hui. »
Si vous mettez vos pensées au présent, vous réaliserez bien des choses. Si vous dites: un jour…, vous vous condamnez pratiquement à l’échec.
Revenons à notre candidat qui passe l’entrevue, comment aimeriez-vous être catégorisé, un activiste ou un passiviste. Il est bien évident que l’activiste va démontrer une assurance, il va livrer ce qu’il a démontré dans l’entrevue, tandis que le passiviste va trouver toutes les excuses pour expliquer pourquoi il n’arrive pas à atteindre les attentes de son supérieur.
Analysons comment nous sommes perçus par les autres. Nous perçoivent-ils comme des activistes ou des passiviste. Posez leur la question et accepté leur réponse qu’elle vous convienne ou non. Si vous avez développé, une excellente relation avec vos collègues, ils devraient être capables de vous dire la vérité.
Je souhaiterais que les gens qui mettront en pratique l’exercice de la feuille de papier et du crayon m’informent qu’ils se sont mis en action pour réaliser de grande chose. Soyez assuré que je ne vous jugerai pas, car je sais tout l’effort que cela vous a pris. Si cela vous intéresse, envoyez-moi un message pour me confirmer que vous avez décidé de vous mettre en action. Se choisir est la plus grande décision que nous prenons, car si vous ne vous choisissez pas, personne ne le fera à votre place.
Si vous sentez le besoin d’être accompagné, car vous avez peur d’avoir des relâchements. Contactez-moi! Sachez qu’ensemble nous pouvons nous soutenir dans l’atteinte de nos objectifs. Souvent un point de vue externe, nous permet de voir la situation sous un nouvel angle. Des fois trop collés sur la situation, nous ne voyons pas le plan d’ensemble.
Accompagner des gens, c’est mon objectif. Offrir aux personnes qui ont des doutes, la motivation de se mettre en action. De croire en eux est mon leitmotiv. Je crois que nous avons tous en dedans de nous un peu d’activistes et qu’il faut se motiver pour se mettre en action. Voilà pourquoi j’ai créé Motivation. Coach.
Alors, lève-toi, va chercher une feuille de papier et un crayon et écrit tes idées ou tes rêves!
Motivaction.coach

6, rue Béram
L’Épiphanie (Québec)
J5X3J1
514-609-7739
info@motivaction.coach